Il ya des parfums de France du côté de Séoul. Non pas que Chanel inonde la marché coréen mais l'ouvrier automobile local à la revendication tétue ! Ainsi ce ne sont pas moins de 4 sites de fabrication du pays qui ont vu leurs occupants cesser le travail pour réclamer une hausse de salaire. Tout d'abord, les employés syndiqués de Kia (85% du personnel) ont lancé un arrêt de travail quotidien de 2 heures valable du 18 au 21 Juillet. Ce mouvement fait suite à celui de Hyundai alors même que les personnels de GM-Daewoo mais aussi de Ssangyong ont aussi débrayé pour les mêmes raisons. On l'aura remarqué, à la différence de la France, l'union syndicale coréenne n'est pas un voeu pieux.
Zapping Le Blogauto Essai DS3 E-Tense 2023
Il ya des parfums de France du côté de Séoul. Non pas que Chanel inonde la marché coréen mais l'ouvrier automobile local à la revendication tétue ! Ainsi ce ne sont pas moins de 4 sites de fabrication du pays qui ont vu leurs occupants cesser le travail pour réclamer une hausse de salaire. Tout d'abord, les employés syndiqués de Kia (85% du personnel) ont lancé un arrêt de travail quotidien de 2 heures valable du 18 au 21 Juillet. Ce mouvement fait suite à celui de Hyundai alors même que les personnels de GM-Daewoo mais aussi de Ssangyong ont aussi débrayé pour les mêmes raisons. On l'aura remarqué, à la différence de la France, l'union syndicale coréenne n'est pas un voeu pieux.
Chez Kia, 27.550 ouvriers syndiqués réclame une hausse de 9.1% des salaires. L'an dernier les ouvriers de Kia et Hyundai ont obtenu de la même façon une augmentation de 6.9 %. Le conflit semble, cette année, partir sur des bases plus difficiles et le syndicat s'attend à une longue bataille.
Chez GM-Daewoo (Chevrolet), ce sont 9500 travailleurs qui cessent le travail durant 4 h quotidiennement après l'absence d'accord avec les dirigeants. La demande porte sur une hausse de 8.5% des salaires assortie de conditions de travail meilleures alors que les dirigeants proposent 4.1 %.
Chez Ssangyong, détenu par SAIC, la revendication principale est une hausse de 10.5% des salaires. La colère s'exprime également contre les suppressions d'emplois ordonnées par le propriétaire chinois. Ce sont 13% du personnel qui devrait se retrouver dehors soit 986 personnes. Le mouvement dure depuis le 26 Juin.
Bref, on imagine nos Bernard Thibault, Jean-Claude Mailly ou encore François Chérèque se flageller douloureusement devant une telle union sacrée qui risque tout de même de peser lourdement sur le secteur automobile coréen s'il devait perdurer. Mais l'histoire nous montre également que les accords antérieurs ont tous été obtenus de la même façon. C'est donc un marronnier !
Il ya des parfums de France du côté de Séoul. Non pas que Chanel inonde la marché coréen mais l'ouvrier automobile local à la revendication tétue ! Ainsi ce ne sont pas moins de 4 sites de fabrication du pays qui ont vu leurs occupants cesser le travail pour réclamer une hausse de salaire. Tout d'abord, les employés syndiqués de Kia (85% du personnel) ont lancé un arrêt de travail quotidien de 2 heures valable du 18 au 21 Juillet. Ce mouvement fait suite à celui de Hyundai alors même que les personnels de GM-Daewoo mais aussi de Ssangyong ont aussi débrayé pour les mêmes raisons. On l'aura remarqué, à la différence de la France, l'union syndicale coréenne n'est pas un voeu pieux.