Coup dur pour la plus extrême des supercars. Sa carrière aux Etats-Unis pourrait bien s'achever avant même d'avoir commencé. Et lorsque l'on sait que la Veyron doit réaliser plus de la moitié de ses ventes de l'autre côté de l'Atlantique, ce facheux contretemps pourrait bien sonner le glas de Bugatti, filiale du groupe Volkswagen.
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Coup dur pour la plus extrême des supercars. Sa carrière aux Etats-Unis pourrait bien s'achever avant même d'avoir commencé. Et lorsque l'on sait que la Veyron doit réaliser plus de la moitié de ses ventes de l'autre côté de l'Atlantique, ce facheux contretemps pourrait bien sonner le glas de Bugatti, filiale du groupe Volkswagen.
En cause ? L'airbag installé dans la Veyron ne respecte pas la règlementation en vigueur aux USA qui exige que cet élément de sécurité soit équipé d'un dispositif détectant la présence d'enfants ou de personnes de petite taille à l'intérieur du véhicule.
Pour l'instant, comme nombre d'autres constructeurs réalisant de faibles volumes de vente, Bugatti tente d'obtenir une dérogation en expliquant à la NHTSA (l'organisme de sécurité routière américain) les conséquences dramatiques d'une interdiction de son modèle sur ses résultats financiers.
En cas de refus, la mise aux normes de la Veyron pourrait faire grimper son prix de 125.000 dollars et allonger les délais de livraison de 2 ans.
Coup dur pour la plus extrême des supercars. Sa carrière aux Etats-Unis pourrait bien s'achever avant même d'avoir commencé. Et lorsque l'on sait que la Veyron doit réaliser plus de la moitié de ses ventes de l'autre côté de l'Atlantique, ce facheux contretemps pourrait bien sonner le glas de Bugatti, filiale du groupe Volkswagen.