La lente agonie de TVR, que son très jeune propriétaire Nikolai Smolenski n'a su enrayer, avait abouti à une situation confuse à la Rover où l'usine historique de Blackpool, personnel inclus, se retrouvait sur le carreau en passant par la case redressement judiciaire, tandis que Smolenski partait via un tour de passe-passe administrativo-financier avec les plans et les droits de la marque pour une destination continentale inconnue dans le but de faire, on ne sait pas très bien quoi au juste. Les seuls signes de vie récents concernaient une hypothétique Typhoon qui faisait une belle jambe aux ex-employés.
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La lente agonie de TVR, que son très jeune propriétaire Nikolai Smolenski n'a su enrayer, avait abouti à une situation confuse à la Rover où l'usine historique de Blackpool, personnel inclus, se retrouvait sur le carreau en passant par la case redressement judiciaire, tandis que Smolenski partait via un tour de passe-passe administrativo-financier avec les plans et les droits de la marque pour une destination continentale inconnue dans le but de faire, on ne sait pas très bien quoi au juste. Les seuls signes de vie récents concernaient une hypothétique Typhoon qui faisait une belle jambe aux ex-employés.
Et tout le monde de pleurer un constructeur attachant, dont les futures pérégrinations relevaient de la boule de cristal. Jusqu'à la semaine dernière, où l'on apprenait à l'occasion de la mise en vente par l'administrateur judiciaire du site de Blackpool, que, surprise surprise, le lot contenait en fait les droits de la marque TVR pour les Etats-Unis, l'Union Européenne et la Grande-Bretagne. La manip du jeune milliardaire russe aurait-elle comme un défaut ? En tout cas, l'affaire devient beaucoup plus intéressante, et, outre les rumeurs de candidats au rachat en Asie, un nouveau prétendant, et non des moindres, vient de se déclarer. Il s'agit de Al Melling, motoriste de renom et promoteur d'une nouvelle méga-supercar répondant au doux nom de Hellcat (bon esprit, ce nom) qui prétend manger la Veyron au petit déjeuner via un V10 made in Melling dont la puissance augmente au fil des annonces, aux dernières nouvelles 1175 chevaux. Et Melling, qui a de grandes ambitions pour sa créature, déclare que les compétences nécessaires à la production de tels engins ne courent pas les rues et que justement, l'ex-personnel de Blackpool ferait parfaitement l'affaire, d'où son offre de rachat de l'usine, où reviendraient les ex-TVR après quelques mois nécessaires à la remise en état des locaux et du matériel. Melling ajoute qu'il souhaite reprendre la production de la Griffith (image), pour la vendre entre autres aux Etats-Unis. TVR est une vieille connaissance de Al Melling, qui a conçu le V8 qui propulse l'ensemble de la gamme.
Du coup, Smolenski, qui se retrouve avec une coquille vide dans les mains, pourrait vouloir lui aussi se porter candidat au rachat.
La lente agonie de TVR, que son très jeune propriétaire Nikolai Smolenski n'a su enrayer, avait abouti à une situation confuse à la Rover où l'usine historique de Blackpool, personnel inclus, se retrouvait sur le carreau en passant par la case redressement judiciaire, tandis que Smolenski partait via un tour de passe-passe administrativo-financier avec les plans et les droits de la marque pour une destination continentale inconnue dans le but de faire, on ne sait pas très bien quoi au juste. Les seuls signes de vie récents concernaient une hypothétique Typhoon qui faisait une belle jambe aux ex-employés.