Chine et Inde se regardent en chien de faïence. Pour l'instant, les véhicules enjambant l'Himalaya (dans un sens ou dans l'autre) sont rares. collaborer avec Ashok Leyland, lui fournissant des autocars. Mais une première commande, en 2009, est restée sans lendemain. En 2011, il voulu ouvrir une usine à Chakan, près de Pune. Le constructeur chinois veut mettre 310 millions sur la table, avec un plan en 3 parties. Surtout, ça devait être son premier vrai site de production hors de Chine. L'objectif étant de se roder avant de construire des sites similaires en Russie, au Mexique, en Indonésie et au Brésil. Il débaucha Rakesh Kalra, PDG de Mahindra-Navistar et promu PDG de Foton India.
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Chine et Inde se regardent en chien de faïence. Pour l'instant, les véhicules enjambant l'Himalaya (dans un sens ou dans l'autre) sont rares. Foton veut croire que son ambitieux projet indien va enfin se concrétiser.Foton a d'abord voulu collaborer avec Ashok Leyland, lui fournissant des autocars. Mais une première commande, en 2009, est restée sans lendemain. En 2011, il voulu ouvrir une usine à Chakan, près de Pune. Le constructeur chinois veut mettre 310 millions sur la table, avec un plan en 3 parties. Surtout, ça devait être son premier vrai site de production hors de Chine. L'objectif étant de se roder avant de construire des sites similaires en Russie, au Mexique, en Indonésie et au Brésil. Il débaucha Rakesh Kalra, PDG de Mahindra-Navistar et promu PDG de Foton India.
Normalement, la production devait démarrer fin 2013. Mais début 2014, Foton n'avait même pas de permis de construire. La faute à la légendaire bureaucratie indienne. Kalra se dit qu'il perd son temps et démissionne.
Xi Jinping est de passage en Inde ces jours-ci. Foton lui tire la manche et veut qu'il donne un coup de pouce à son dossier. Il est d'autant plus motivé que le marché des utilitaires, longtemps morose, semble repartir en Inde. Grâce à cette aide présidentielle, le constructeur a pu signer un accord avec le promoteur Maharashtra Industrial Development Corporation. L'objectif est de produire des utilitaires légers à partir de 2017. En 2020, il sera capable de quadriller l'ensemble du territoire. Puis, à l'horizon 2023, Foton India produira tout types d'utilitaires (légers, moyens et lourds) sur le sol indien.
Le premier gros projet sino-indien va-t-il enfin démarrer ?
Crédit photo : Foton
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Chine et Inde se regardent en chien de faïence. Pour l'instant, les véhicules enjambant l'Himalaya (dans un sens ou dans l'autre) sont rares. collaborer avec Ashok Leyland, lui fournissant des autocars. Mais une première commande, en 2009, est restée sans lendemain. En 2011, il voulu ouvrir une usine à Chakan, près de Pune. Le constructeur chinois veut mettre 310 millions sur la table, avec un plan en 3 parties. Surtout, ça devait être son premier vrai site de production hors de Chine. L'objectif étant de se roder avant de construire des sites similaires en Russie, au Mexique, en Indonésie et au Brésil. Il débaucha Rakesh Kalra, PDG de Mahindra-Navistar et promu PDG de Foton India.