La Fiat 500 arrive au Japon via Edgar de la Cambriole
La Fiat 500 vient de faire son entrée officielle sur le sol japonais. Elle n'a aucune chance de prendre une part significative du marché des petites voitures, spécialité incontestable des constructeurs locaux qui sont de plus dans leur jardin, mais elle peut s'y tailler une petite niche, se plaçant dans le même registre chic, exclusif et très très italien dont jouit l'Alfa 147. C'est d'ailleurs l'angle que Fiat Japan a choisi avec une fête de lancement mondaine avec 500 (évidemment) invités au Centre Culturel Italien de Tokyo où se tient une exposition de Giuliano Ghelli sur le thème de la Cinquecento.
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La marque italienne a un cachet certain auprès des Japonais dans le vent qu'elle prévoit de cultiver en ouvrant très bientôt un Fiat Café dans le quartier très tendance d'Aoyama à Tokyo au printemps. La 500 originelle est d'ailleurs l'objet d'un culte certain dans le pays où elle est très à son aise, tout comme la première Mini.
L'initiative la plus futée de Fiat pour faire connaître sa nouvelle 500 est de la placer dans les prochaines aventures de Runpan Sansei, curieusement connu en France sous le nom d'Edgar de la Cambriole alors qu'il s'agit en version originale d'Arsène Lupin III, petit fils du héros de Maurice Leblanc. Ce personnage fantasque et séducteur est récompensé de sa fidélité passée à la 500 originelle, qui apparaît dans nombre de ses aventures, par une nouvelle 500 dans son nouveau film qui marque également le 40ème anniversaire de la série.
Les Japonais auront droit au volant à droite, dans un premier temps en deux versions, Lounge et Lounge SS équipées du moteur 1,2l 69 ch et d'une boîte robotisée Dualogic, vendues respectivement 2.250.000 yens (14.150 euros) et 2.330.000 yens (14.660 euros).
A titre de comparaison, la Mini One automatique commence à 2.180.000 yens, la version la plus haut de gamme de la Mazda Demio (Mazda2), la Sport, est vendue 1.580.000 yens et celle de la Honda Fit (Jazz), la RS, est à 1.785.000 yens.
La Fiat 500 vient de faire son entrée officielle sur le sol japonais. Elle n'a aucune chance de prendre une part significative du marché des petites voitures, spécialité incontestable des constructeurs locaux qui sont de plus dans leur jardin, mais elle peut s'y tailler une petite niche, se plaçant dans le même registre chic, exclusif et très très italien dont jouit l'Alfa 147. C'est d'ailleurs l'angle que Fiat Japan a choisi avec une fête de lancement mondaine avec 500 (évidemment) invités au Centre Culturel Italien de Tokyo où se tient une exposition de Giuliano Ghelli sur le thème de la Cinquecento.
