Pendant que Chrysler et General Motors dialoguent toujours sur une éventuelle fusion, et que le premier constructeur nommé cherche à se séparer de Viper, la dernière génération de Dodge Viper ACR s'affiche comme l'un des modèles le plus en réussite disponible sur le catalogue (tout comme le plus onéreux). Toute sa production est du reste "sold out" comme on dit outre-Atlantique.
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Pendant que Chrysler et General Motors dialoguent toujours sur une éventuelle fusion, et que le premier constructeur nommé cherche à se séparer de Viper, la dernière génération de Dodge Viper ACR s'affiche comme l'un des modèles le plus en réussite disponible sur le catalogue (tout comme le plus onéreux). Toute sa production est du reste "sold out" comme on dit outre-Atlantique.
Alors que Chrysler enregistrait en octobre dernier une baisse importante de ses ventes, à hauteur de 35 %, la Dodge Viper ACR continuait son grand bonhomme de chemin commercialement parlant avec une centaine d'unités écoulées (100 par mois en moyenne). Malgré un prix de vente de 105 000 dollars, contre 85 000 pour la Viper d'entrée de gamme, la supercar sportive américaine semble constituer un investissement refuge.
"Ces clients possèdent un important capital. En achetant une Viper ACR, ils cherchent ainsi à investir leur argent dans une valeur sûre qui ne subira pas à les effets de la crise économique", s'est ainsi exprimé Jim Press. La production prévue jusqu'à la fin de l'année civile est d'ores et déjà vendue. Question : qu'adviendrait-il finalement de Viper si Chrysler venait à se rapprocher définitivement de General Motors ?
Pendant que Chrysler et General Motors dialoguent toujours sur une éventuelle fusion, et que le premier constructeur nommé cherche à se séparer de Viper, la dernière génération de Dodge Viper ACR s'affiche comme l'un des modèles le plus en réussite disponible sur le catalogue (tout comme le plus onéreux). Toute sa production est du reste "sold out" comme on dit outre-Atlantique.