Le marché Russe est en chute libre. Les perspectives économiques et politiques ne sont guère encourageantes. Opel a carrément quitté le pays. D'autres hésitent. Pas Hyundai-Kia, qui croit en un avenir meilleur.
Le marché Russe est en chute libre. Les perspectives économiques et politiques ne sont guère encourageantes. Opel a carrément quitté le pays. D'autres hésitent. Pas Hyundai-Kia, qui croit en un avenir meilleur.
A Saint-Petersbourg, où il produit à la fois des Hyundai Solaris et des Kia Rio, il n'y a aucun signe de baisse d'activité. Les Coréens font le pari que ce n'est qu'un gros nuage, qui finira par passer. En attendant, il faut sortir l'artillerie lourde pour séduire. Une stratégie éprouvée aux Etats-Unis, lors de la crise de 2008. Alors que la concurrence rase les murs, Hyundai-Kia multiplie les promotions. De plus, le SUV Creta vient d'être lancé en fanfare. Ainsi, le jour où ça repartira, les Coréens tiendront la corde.
En attendant, c'est une question de mathématiques : si les ventes des autres baissent et que celles de Hyundai-Kia baissent moins, il glane des parts de marchés. De 10% en 2012, le Coréen vient d'atteindre les 20% au premier semestre 2016. Les Solaris et Rio viennent même de s'offrir les deux premières places des ventes, devant les Lada nationales !
Crédit photo : Hyundai Russia
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Le marché Russe est en chute libre. Les perspectives économiques et politiques ne sont guère encourageantes. Opel a carrément quitté le pays. D'autres hésitent. Pas Hyundai-Kia, qui croit en un avenir meilleur.
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