par Christophe Labedan

Hécatombe à Istanbul

Les pilotes étaient au 7ème ciel avec cette nouvelle piste si éloignée du standard troncateur de la FIA, avec ses courbes rythmées et ses dénivellements qui font le bonheur des pilotes. Enfin un circuit à l'ancienne, un circuit d'homme  s'exclamait Jacques Villeneuve, avant de sortir violemment de la piste. Le circuit d'Istambul leur a tout de même réservé quelques surprises faisant moultes victimes, même dans les rangs des pilotes considérés comme les plus fins tels que Schumacher et Button. Dans le cas de ce dernier, Button nous gratifiait d'un tour en caméra embarquée qui n'était pas sans rappeler le style pur d'Alain Prost jusqu'à un sous-virage dévastateur qui l'amenait dans le bac à gravier bleu. Schumi dans un style de kartman forçait sa Ferrari sous vireuse tôt dans les virages de façon à inscrire l'avant au point de corde, l'arrière de sa monoplace décida qu'il serait mieux aux avant postes et terminait prématurément son tour de qualif. Les Renault se comportaient plutôt bien, Fisichella bénéficiant des conseils avisés de son coéquipier quant à l'adhérénce précaire dans le virage 12. Finalement, Räikkönen devait metttre tout le monde d'accord avec un sans faute. Le Grand Prix promet d'être tumultueux avec on l'imagine, une piste qui devrait procurer nombre de dépassements et de sorties de routes.

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Les pilotes étaient au 7ème ciel avec cette nouvelle piste si éloignée du standard troncateur de la FIA, avec ses courbes rythmées et ses dénivellements qui font le bonheur des pilotes. Enfin un circuit à l'ancienne, un circuit d'homme  s'exclamait Jacques Villeneuve, avant de sortir violemment de la piste. Le circuit d'Istambul leur a tout de même réservé quelques surprises faisant moultes victimes, même dans les rangs des pilotes considérés comme les plus fins tels que Schumacher et Button. Dans le cas de ce dernier, Button nous gratifiait d'un tour en caméra embarquée qui n'était pas sans rappeler le style pur d'Alain Prost jusqu'à un sous-virage dévastateur qui l'amenait dans le bac à gravier bleu. Schumi dans un style de kartman forçait sa Ferrari sous vireuse tôt dans les virages de façon à inscrire l'avant au point de corde, l'arrière de sa monoplace décida qu'il serait mieux aux avant postes et terminait prématurément son tour de qualif. Les Renault se comportaient plutôt bien, Fisichella bénéficiant des conseils avisés de son coéquipier quant à l'adhérénce précaire dans le virage 12. Finalement, Räikkönen devait metttre tout le monde d'accord avec un sans faute. Le Grand Prix promet d'être tumultueux avec on l'imagine, une piste qui devrait procurer nombre de dépassements et de sorties de routes.

Kimi Räikkönen McLaren-Mercedes 1:26.797
Giancarlo Fisichella Renault 1:27.039
Fernando Alonso Renault 1:27.050
Juan Pablo Montoya McLaren-Mercedes 1:27.352
Jarno Trulli Toyota 1:27.501
Nick Heidfeld Williams-BMW 1:27.929
Mark Webber Williams-BMW 1:27.944
Felipe Massa Sauber-Petronas 1:28.419
Ralf Schumacher Toyota 1:28.594
Christian Klien Red Bull Racing 1:28.963
Rubens Barrichello Ferrari 1:29.369
David Coulthard Red Bull Racing 1:29.764
Button BAR-Honda 1:30.063
Takuma Sato BAR-Honda 1:30.175
Tiago Monteiro Jordan-Toyota 1:30.710
Robert Doornbos Minardi-Cosworth
Jacques Villeneuve Sauber-Petronas
Narain Karthikeyan Jordan-Toyota
Michael Schumacher Ferrari

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Les pilotes étaient au 7ème ciel avec cette nouvelle piste si éloignée du standard troncateur de la FIA, avec ses courbes rythmées et ses dénivellements qui font le bonheur des pilotes. Enfin un circuit à l'ancienne, un circuit d'homme  s'exclamait Jacques Villeneuve, avant de sortir violemment de la piste. Le circuit d'Istambul leur a tout de même réservé quelques surprises faisant moultes victimes, même dans les rangs des pilotes considérés comme les plus fins tels que Schumacher et Button. Dans le cas de ce dernier, Button nous gratifiait d'un tour en caméra embarquée qui n'était pas sans rappeler le style pur d'Alain Prost jusqu'à un sous-virage dévastateur qui l'amenait dans le bac à gravier bleu. Schumi dans un style de kartman forçait sa Ferrari sous vireuse tôt dans les virages de façon à inscrire l'avant au point de corde, l'arrière de sa monoplace décida qu'il serait mieux aux avant postes et terminait prématurément son tour de qualif. Les Renault se comportaient plutôt bien, Fisichella bénéficiant des conseils avisés de son coéquipier quant à l'adhérénce précaire dans le virage 12. Finalement, Räikkönen devait metttre tout le monde d'accord avec un sans faute. Le Grand Prix promet d'être tumultueux avec on l'imagine, une piste qui devrait procurer nombre de dépassements et de sorties de routes.

Christophe Labedan
Rédacteur
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