General Motors pourra-t-elle vraiment sortir de la vrille fatale dans laquelle elle est embarquée ? Les nouvelles d'aujourd'hui ne vont pas dans ce sens. Le bilan annuel 2005 remis à la SEC, autorité boursière US, fait également état des résultats de 2000 à 2004 revus à la baisse après vérification suite aux erreurs (2 milliards de dollars, une paille) retrouvées dans les comptes de l'année dernière. Quelques dizaines de millions de dollars de gains rayés des bilans, voilà qui va contribuer à rassurer les actionnaires et les futurs investisseurs, si tant est qu'il y en ait encore. Mais c'est du passé. Ce qui n'empêche que le présent n'est pas moins déprimant.
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General Motors pourra-t-elle vraiment sortir de la vrille fatale dans laquelle elle est embarquée ? Les nouvelles d'aujourd'hui ne vont pas dans ce sens. Le bilan annuel 2005 remis à la SEC, autorité boursière US, fait également état des résultats de 2000 à 2004 revus à la baisse après vérification suite aux erreurs (2 milliards de dollars, une paille) retrouvées dans les comptes de l'année dernière. Quelques dizaines de millions de dollars de gains rayés des bilans, voilà qui va contribuer à rassurer les actionnaires et les futurs investisseurs, si tant est qu'il y en ait encore. Mais c'est du passé. Ce qui n'empêche que le présent n'est pas moins déprimant.
GM avertit aujourd'hui que finalement, la vente de 51% de la branche financière GMAC n'est plus du tout certaine. Si l'affaire ne se fait pas, adios les 15 milliards de cash espérés de la transaction, et les espoirs de refaire une virginité à l'institution financière actuellement plombée par sa relation avec le géant blessé. Ce qui qui ne va pas faciliter les choses pour le constructeur quand il sera question d'emprunter. L'année s'annonce douloureuse pour General Motors, et ce ne sont pas les centaines de cadres et d'employés américains licenciés mardi qui diront le contraire. Prochain arrêt, la faillite ?
General Motors pourra-t-elle vraiment sortir de la vrille fatale dans laquelle elle est embarquée ? Les nouvelles d'aujourd'hui ne vont pas dans ce sens. Le bilan annuel 2005 remis à la SEC, autorité boursière US, fait également état des résultats de 2000 à 2004 revus à la baisse après vérification suite aux erreurs (2 milliards de dollars, une paille) retrouvées dans les comptes de l'année dernière. Quelques dizaines de millions de dollars de gains rayés des bilans, voilà qui va contribuer à rassurer les actionnaires et les futurs investisseurs, si tant est qu'il y en ait encore. Mais c'est du passé. Ce qui n'empêche que le présent n'est pas moins déprimant.
