Dénouement en vue dans "l'affaire" de la reprise du site de Strasbourg par le nouveau General Motors ? On semble en effet sur cette voie même si rien n'est encore acquis. Trois des quatre syndicats du site de General Motors à Strasbourg ont signé ce midi un accord de reprise par l'Américain, ouvrant la voie à General Motors Company pour ce rachat du site spécialisé dans les boîtes de vitesses. Mais le refus de la CGT (deuxième syndicat du site) de parapher le document pourrait faire capoter la reprise.
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Et donc ce midi trois des quatre syndicats du site ont signé le document. Sauf que les dirigeants avaient exigé, demandé, que l'ensemble des organisations syndicales acceptent. Raté avec le refus de la CGT. "Cette condition n'est pas remplie et GM Strasbourg en informera dès vendredi après-midi General Motors Company qui aura à se prononcer sur le maintien de son offre", avance un délégué syndical de la CFDT.
Rappelons que cet accord assure à l'usine un carnet de commandes jusqu'à l'horizon 2014 et la sauvegarde de l'emploi en contrepartie d'une réduction des RTT de 16 à 10 jours, d'un gel des salaires sur deux ans et de l'intéressement sur trois ans.
Montant du rachat de l'usine ? Un euro symbolique. La balle est dans le camp de la direction de GMC (qui un temps avait fait planer la menace d'une production alors assurée au Mexique). Alors : au sein du nouveau GM ? Non ? Et dans le cas d'un refus par GMC, quel avenir ?
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Pour résumer
Dénouement en vue dans "l'affaire" de la reprise du site de Strasbourg par le nouveau General Motors ? On semble en effet sur cette voie même si rien n'est encore acquis. Trois des quatre syndicats du site de General Motors à Strasbourg ont signé ce midi un accord de reprise par l'Américain, ouvrant la voie à General Motors Company pour ce rachat du site spécialisé dans les boîtes de vitesses. Mais le refus de la CGT (deuxième syndicat du site) de parapher le document pourrait faire capoter la reprise.