GM et Chrysler : le retour du retour de la fusion balayée puis réouverte ?
Un pas en avant, un en arrière, un de nouveau en avant, une énième marche en sens inverse et, dernière rumeur en date rapportée par le Wall Street Journal (pas un obscur torchon donc), un dialogue finalement relancé entre General Motors et Chrysler. D'accord, on prend les mêmes et on recommence des semaines plus tard et des soucis de trésorerie davantage avérés. Problème : General Motors a de suite démenti la reprise des négociations (pour sûrement ne pas froisser les bonnes intentions et futures orientations financières de l'administration Bush ?).
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Si la situation de Chrysler et de General Motors n'était pas aussi périlleuse et tendue quant à leur avenir respectif, ce petit jeu du chat et de la souris pourrait prêter à sourire. Vu la situation évidemment, ceci ne s'y prête pas vraiment.
Alors donc selon le Wall Street Journal, Cerberus, l'actuel propriétaire majoritaire (80 %) de Chrysler, aurait revu ses exigences financières à la baisse et aurait entamé pour une nouvelle fois des discussions avec General Motors.
Réplique laconique mais ô combien cinglante de ce dernier par le biais un porte-parole du groupe : "Je peux dire sans équivoque que nous ne discutons pas de fusion avec Chrysler". Allusion directe à l'annonce début novembre de GM qui indiquait avoir jeté l'éponge. Le montant demandé par Cerberus n'entrerait donc plus en ligne de compte.
En attendant un énième rebondissement, Chrysler se noie et General Motors surnage, les deux acteurs sachant pertinemment d'où pourrait être lancée la bouée de sauvetage. Quelle sera l'attitude finale du capitaine du navire ? To be continued encore une fois.
Un pas en avant, un en arrière, un de nouveau en avant, une énième marche en sens inverse et, dernière rumeur en date rapportée par le Wall Street Journal (pas un obscur torchon donc), un dialogue finalement relancé entre General Motors et Chrysler. D'accord, on prend les mêmes et on recommence des semaines plus tard et des soucis de trésorerie davantage avérés. Problème : General Motors a de suite démenti la reprise des négociations (pour sûrement ne pas froisser les bonnes intentions et futures orientations financières de l'administration Bush ?).