Si on ne vous a pas encore parlé de Ferrari à Genève, cest quil ny a rien à voir sur leur stand. Cependant, lexposition qui y était présentée était un bon reflet de la politique de communication de la marque.
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Comme dhabitude, stand fermé au public. Tout le stand ? Non, bien sûr ! La boutique reste toujours ouverte. Un petit détour pour y découvrir des objets en tous genres, casquettes, vêtements, miniatures de plus (Red Line) ou moins (Ixo) bonne qualité, le tout affiché à des prix bien plus élevés que chez les autres marques, royalties obligent.
En fait, le seul intérêt chez Ferrari est que le stand capitalise sur les points qui font les spécificités de la marque : la F1 et lhistoire (ici, les 40 ans de la Daytona). Lexposition est belle et propre, placée en vue car en hauteur (une façon de tenir le public à distance ?).
De quoi faire rêver les amateurs de la marque et seulement eux (même sil y en a beaucoup), sans être obligé de les faire rentrer. Typiquement Ferrari ça : soigner les émirs et traiter les fans "populaires" avec condescendance, en les tenant à distance (essayez dobtenir une invitation pour rentrer sur leur stand auprès dun concessionnaire). Du coup, je ne me suis même pas attardé à rentrer lors des journées presse. Jai préféré traîner ma couenne du côté de chez Koenigsegg, Spyker ou KTM. Tellement plus à découvrir là-bas
Si on ne vous a pas encore parlé de Ferrari à Genève, cest quil ny a rien à voir sur leur stand. Cependant, lexposition qui y était présentée était un bon reflet de la politique de communication de la marque.