La Mercedes Classe C version AMG développait déjà la bagatelle de 450 chevaux. Suffisant en côte pour noyer sous un nuage de fumée tout véhicule doublé. Mais point assez pour le préparateur Brabus. D'où cette déclinaison encore plus ravageuse et joliment "painted in black" exposée sous les néons suisses...
Zapping Le Blogauto La Porsche Panamera en avant premiere
La Mercedes Classe C version AMG développait déjà la bagatelle de 450 chevaux. Suffisant en côte pour noyer sous un nuage de fumée tout véhicule doublé. Mais point assez pour le préparateur Brabus. D'où cette déclinaison encore plus ravageuse et joliment "painted in black" exposée sous les néons suisses...
Attention la Mercedes Brabus Bullit Black Arrow surdopée aux amphétamines débarque avec un organe dérivé d'un bloc Mercedes et atomisé par le préparateur. Soulevons le capot. Délicatement. Le V12 de 6.3l de cylindrée trône religieusement prêt à envoyer et faire rugir ses 730 chevaux à 5100tr/min le tout couplé à une boîte automatique à cinq rapports... Le couple atteint 1320Nm. Du lourd.
Avec tout ça, les performances se révèlent somptueuses. Pensez donc. 3.9s pour le 0 à 100km/h, 10.5s pour le 0 à 200km/h ou (là ça devient stratosphérique pour une auto à la base familiale) 24.5s pour le 0 à 300km/h. En pointe ? 360km/h. Allez Ferrari et Lambo, au garage !
Evidemment avec de telles performances mieux valait assurer le coup en cas de freinage brutal. Des disques renforcés de diamètre de 380 mm pour l'avant et 360 à l'arrière assurent niveau sécurité. Et pour adhérer au bitume les suspensions disposent désormais de réglages prédéfinis. On boucle avec l'habitacle et, selon les envies du client, cuir ou fibre de carbone. Ultime détail et non le moindre si vous avez craqué : cette série ne sera produite qu'à un nombre limité d'unités. Préparez le chèque de 345 000.
La Mercedes Classe C version AMG développait déjà la bagatelle de 450 chevaux. Suffisant en côte pour noyer sous un nuage de fumée tout véhicule doublé. Mais point assez pour le préparateur Brabus. D'où cette déclinaison encore plus ravageuse et joliment "painted in black" exposée sous les néons suisses...