Entre Ford et Geely, il reste quelques points à régler pour finaliser la vente de la marque Volvo aux Chinois. Outre le financement, c'est aussi l’accord des gouvernements qu'il est nécessaire d'obtenir. Désormais, c'est officiel, Geely a le soutien de Pékin.
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"Sans le soutien du gouvernement, la transaction ne pourrait pas se faire", a précisé Gui Chengyue, directeur général de Geely Auto, cité par Reuters. Au cours d’une conférence de presse à Hong Kong, le responsable du premier constructeur Chinois privé a expliqué que Geely cherche à conclure un prêt de 1 milliard de dollars pour boucler le rachat pour 1,8 milliard de dollars de Volvo.
3 banques chinoises seraient en passe de financer ce prêt qui va radicalement changer la donne dans l'industrie automobile locale.
Ford a cherché dans tout ce feuilleton, un repreneur apte à garantir les valeurs et l’indépendance de Volvo. Mais cette acquisition doit surtout permettre au constructeur chinois Geely d’accéder à des technologies et à un savoir-faire lui permettant de se démarquer de la concurrence en Chine. En effet, le marché automobile chinois, dont on ne va pas encore vous rappeler la croissance, est dominé par des acteurs étrangers, comme Volkswagen ou General Motors. Geely compte bien prendre sa part du gâteau ! "Le paysage de l’industrie automobile chinoise a beaucoup changé et je pense que les acquisitions sont une tendance de fond", a affirmé Gui Shengyue.
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Entre Ford et Geely, il reste quelques points à régler pour finaliser la vente de la marque Volvo aux Chinois. Outre le financement, c'est aussi l’accord des gouvernements qu'il est nécessaire d'obtenir. Désormais, c'est officiel, Geely a le soutien de Pékin.