Décidément la Big Tech veut sa part du gâteau du véhicule électrique, en particulier en Chine. Dernière association en date, celle de Geely et Foxconn. Tous deux veulent produire des véhicules électriques... pour d'autres constructeurs.
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Quelques jours après son association avec Baidu, Geely trouve un nouveau partenaire dans le domaine du véhicule électrique. De son côté, Foxconn ajoute un nouvel élément à son assaut de l'industrie automobile. Après avoir développé sa plateforme, ébauché un accord avec FCA, sauvé Byton, voici à présent le groupe taïwanais uni à l'un des plus gros groupes automobiles chinois.
Le propos et toutefois ici bien différent de ce qui a rapproché Geely et Baidu, SAIC et Alibaba ou encore Changan et Huawei. Pas question d'une marque commune ici. Bien connu pour la production des iPhone (entres autres produits électroniques), Foxconn reste dans le même univers, puisque la nouvelle coentreprise compte proposer à d'autres constructeurs des services de conception et de production. Services qui vont de la simple pièce à la voiture complète. Un process que l'on rapprochera de celui de Magna Steyr dont l'usine fonctionne pour différentes marques.
Effet collatéral du coronavirus ? Toujours est-il que le paysage automobile chinois semble en pleine effervescence depuis quelques semaines avec des gros investissements réalisés par les grosses sociétés du monde de l'électronique et informatique en Chine. C'est qu'entre véhicule électrique, véhicules connecté, véhicule autonome ils ont leur carte à jouer. Et ils apportent aux groupes automobiles un bonus de crédibilité qui leur fait encore cruellement défaut.
Décidément la Big Tech veut sa part du gâteau du véhicule électrique, en particulier en Chine. Dernière association en date, celle de Geely et Foxconn. Tous deux veulent produire des véhicules électriques... pour d'autres constructeurs.
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