par Christophe Labedan

Francfort 2005: Landwind, la Lada chinoise

Vous salivez à l'idée de vous offrir un gros 4X4 à 15000? Vous avez donc entendu parler de la Landwind, déjà en vente en Hollande et en Allemagne. Nous l'avons examinée au salon, très curieux que nous étions d'évaluer la qualité de cette auto made in China. De prime abord, elle impressionne, avec ses élargisseurs d'aile et ses marchepieds, tout en dégageant un air de déjà vu. En effet, elle rappelle furieusement l'Opel Frontera, ce qui parait-il est source de courroux chez les dirigeants de la GM. Mais un examen plus attentif met en valeur un assemblage peu rigoureux des éléments de carrosserie ainsi que des joints. A l'intérieur, on change d'univers. Finie la Frontera, bonjour tristesse. D'abord, l'habitacle dégage une odeur de raffinerie de pétrole épouvantable. Ensuite, les matériaux semblent tout droit sortis d'une usine russe, tandis que l'assemblage laisse rêveur. La postion de conduite s'avère malaisée puisque ni le volant ni le siège conducteur ne se règlent en hauteur. Toutefois, le design, quoique hyper conventionnel, ne choque pas.

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Vous salivez à l'idée de vous offrir un gros 4X4 à 15000? Vous avez donc entendu parler de la Landwind, déjà en vente en Hollande et en Allemagne. Nous l'avons examinée au salon, très curieux que nous étions d'évaluer la qualité de cette auto made in China. De prime abord, elle impressionne, avec ses élargisseurs d'aile et ses marchepieds, tout en dégageant un air de déjà vu. En effet, elle rappelle furieusement l'Opel Frontera, ce qui parait-il est source de courroux chez les dirigeants de la GM. Mais un examen plus attentif met en valeur un assemblage peu rigoureux des éléments de carrosserie ainsi que des joints. A l'intérieur, on change d'univers. Finie la Frontera, bonjour tristesse. D'abord, l'habitacle dégage une odeur de raffinerie de pétrole épouvantable. Ensuite, les matériaux semblent tout droit sortis d'une usine russe, tandis que l'assemblage laisse rêveur. La postion de conduite s'avère malaisée puisque ni le volant ni le siège conducteur ne se règlent en hauteur. Toutefois, le design, quoique hyper conventionnel, ne choque pas.

Côté moteurs, 2 blocs essence, un 2.0L de 115 CV et un 2.4L de 125CV sont disponibles. En diesel... juste un vieux 2.8 développant 93 CV, soit un rendement inférieur à celui du 2.3L équipant la Peugeot 504! D'ailleurs, sous le capot, le radiateur rappelerait même celui d'une 203.
En Allemagne, le Landwind 2.0 S à 2 roues motrices s'offre à 14995, prix qui ne devrait pas évoluer outre mesure pour la France, où il est attendu en principe pour la fin de l'année. Il faut ajouter presque 1000 pour le pont avant enclenchable, et à 19995, le haut de gamme, le 2.8 SC4 diesel est à vous. A vous de vous satisfaire d'une technologie antédiluvienne, d'une qualité de fabrication aléatoire et d'une finition déprimante. Reste l'effet sur des voisins peu au courant de la chose automobile...

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Vous salivez à l'idée de vous offrir un gros 4X4 à 15000? Vous avez donc entendu parler de la Landwind, déjà en vente en Hollande et en Allemagne. Nous l'avons examinée au salon, très curieux que nous étions d'évaluer la qualité de cette auto made in China. De prime abord, elle impressionne, avec ses élargisseurs d'aile et ses marchepieds, tout en dégageant un air de déjà vu. En effet, elle rappelle furieusement l'Opel Frontera, ce qui parait-il est source de courroux chez les dirigeants de la GM. Mais un examen plus attentif met en valeur un assemblage peu rigoureux des éléments de carrosserie ainsi que des joints. A l'intérieur, on change d'univers. Finie la Frontera, bonjour tristesse. D'abord, l'habitacle dégage une odeur de raffinerie de pétrole épouvantable. Ensuite, les matériaux semblent tout droit sortis d'une usine russe, tandis que l'assemblage laisse rêveur. La postion de conduite s'avère malaisée puisque ni le volant ni le siège conducteur ne se règlent en hauteur. Toutefois, le design, quoique hyper conventionnel, ne choque pas.

Christophe Labedan
Rédacteur
Christophe Labedan

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