En mauvaise passe financière, Fisker a confirmé mener des discussions stratégiques avec plusieurs partenaires. Mauvaise nouvelle pour le petit constructeur américain puisque celui qui faisait figure de favori, le chinois Geely, a jeté l'éponge.
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En mauvaise passe financière, Fisker a confirmé mener des discussions stratégiques avec plusieurs partenaires. Mauvaise nouvelle pour le petit constructeur américain puisque celui qui faisait figure de favori, le chinois Geely, a jeté l'éponge.
Deux constructeurs chinois étaient impliqués dans des discussions avec Fisker : Geely et Dongfeng. Ce rapprochement chinois n'a pas manqué d'émouvoir la classe politique américaine, le constructeur américain ayant perçu un prêt de $529 millions du Department of Energy en 2009 (dont 200 millions actuellement bloqués). Un prêt censé l'aider à développer l'Atlantic et l'industrialiser dans l'usine de Wilmington (Delaware, ex usine GM).
Le Department of Energy, qui au titre de ce prêt a son mot à dire à toute opération d'acquisition de l'entreprise, a rappelé que le repreneur se retrouverait lié aux engagements qui ont mené à son obtention, et donc maintenir les investissements, les capacités et les emplois promis. En réponse, Geely abandonne face à une situation jugée trop risquée tant les promesses étaient élevées.
Pour l'heure, Dongfeng semble rester dans la course.
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En mauvaise passe financière, Fisker a confirmé mener des discussions stratégiques avec plusieurs partenaires. Mauvaise nouvelle pour le petit constructeur américain puisque celui qui faisait figure de favori, le chinois Geely, a jeté l'éponge.