La finale de l'ANDROS s'est déroulée pour la cinquième fois sur l'anneau du STADE DE FRANCE, glacé pour l'occasion. Une finale qui n'aurait dû être qu'une fête clôturant une saison marquée par le dernier titre remporté par le phénomène de la discipline, Yvan MULLER. Mais une compétition reste une compétition, et ce, surtout si des contentieux restent en suspend.
Zapping Le Blogauto Essai de La Mazda MX30 R-EV
La finale de l'ANDROS s'est déroulée pour la cinquième fois sur l'anneau du STADE DE FRANCE, glacé pour l'occasion. Une finale qui n'aurait dû être qu'une fête clôturant une saison marquée par le dernier titre remporté par le phénomène de la discipline, Yvan MULLER. Mais une compétition reste une compétition, et ce, surtout si des contentieux restent en suspend.
Le climat a donc été lourd entre les TOY de PANIS/PROST et les KIA de BOURION/MULLER. Surtout, d'ailleurs, entre les deux derniers cités. Et c'est un équipage troisième larron qui a profité de cette lutte, celui de la STYLO composait de DE KORSAK et de LAGORCE. Au moins a-t-on eu un sourir au moment d'en finir...
L'événement avait quand même réuni près de 60 000 spectateurs, ce qui n'est pas rien. La C4 a fait son show, LOEB a pris son bain de foule, mais dans l'arène, les gladiateurs ne se sont faits aucun cadeau.
MULLER et PROST ont marqué leur territoire dans leurs finales respectives, et à l'heure des retrouvailles sur la même grille, il ne s'en est pas fallu longtemps pour que les deux protagonistes se chiffonnent. L'état de la piste n'a fait qu'exacerber un contexte déjà tendu, si bien que la TOYOTA est resté sur le carreau tandis que LAGORCE et DAYRAUT prenait la poudre d'escampette.
Le multiple champion Yvan, à la KIA sonnée mais valide, remontait jusqu'à la troisième position. Un dernier podium pour un adieu à un ANDROS qui ne lui a pas vraiment rendu les honneurs que son palmarès mérite. Cherchez dans les communiqués officiels les commentaires sur le départ de celui qui n'a fait qu'occuper le sommet de la hièrarchie lors de dix éditions et vous ne trouverez même pas mention de son nom.
Parfois, le talent induit de ne pas plaire. On imagine le soulagement de certains.
La finale de l'ANDROS s'est déroulée pour la cinquième fois sur l'anneau du STADE DE FRANCE, glacé pour l'occasion. Une finale qui n'aurait dû être qu'une fête clôturant une saison marquée par le dernier titre remporté par le phénomène de la discipline, Yvan MULLER. Mais une compétition reste une compétition, et ce, surtout si des contentieux restent en suspend.