Bien malin qui serait capable aujourdhui de dire précisément de quoi sera faite la Formule 1 de demain. Déjà que la saison 2009 et lintroduction du sulfureux système KERS paraissent loin tant les développements à accomplir savèrent difficiles pour les équipes, le moyen terme semble encore plus compliqué à négocier pour un championnat qui cherche à jouer sur la fibre écologique en plus de la volonté de rester comme la vitrine technologique ultime en matière de sport automobile. Depuis quelques mois, on entend justement parler de plus en plus dun possible retour à la suralimentation en lieu et place des bloc V8 atmosphériques actuels. Aujourdhui, cette éventualité parait de plus en plus probable après les déclarations du président de la FIA et de quelques uns des dix constructeurs disputant le championnat.
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Bien malin qui serait capable aujourdhui de dire précisément de quoi sera faite la Formule 1 de demain. Déjà que la saison 2009 et lintroduction du sulfureux système KERS paraissent loin tant les développements à accomplir savèrent difficiles pour les équipes, le moyen terme semble encore plus compliqué à négocier pour un championnat qui cherche à jouer sur la fibre écologique en plus de la volonté de rester comme la vitrine technologique ultime en matière de sport automobile. Depuis quelques mois, on entend justement parler de plus en plus dun possible retour à la suralimentation en lieu et place des bloc V8 atmosphériques actuels. Aujourdhui, cette éventualité parait de plus en plus probable après les déclarations du président de la FIA et de quelques uns des dix constructeurs disputant le championnat.
Max Mosley, qui cherche à installer la Formule 1 comme un moyen de promotion des nouvelles technologies et une discipline respectueuse de lenvironnement, pense que ces impératifs passent par un abandon des moteurs atmosphériques actuels de 2,4 litres.
Surfant sur la vague du down-sizing et des nouvelles avancées en terme de suralimentation par turbocompresseur, ces nouveaux moteurs pourraient être introduits dès 2012 et certains constructeurs ont déjà proposé une définition technique précise : Renault et BMW prévoient des blocs de seulement 1,5 litres de cylindrée ( les blocs actuels font pour rappel 2,4L ) suralimentés par des turbos soufflant à 1,5 bar.
Mais Max Mosley voudrait de son coté éviter de retomber dans les travers des années 80 où les moteurs turbo atteignaient parfois des puissances complètement folles. Pour éviter de telles dérives, le dirigeant de la FIA prévoit un régime moteur maximum de 15 000 tours / minute et un carburant de type Bio-Fuel.
Et pendant ce temps là, où en est-on du coté du système KERS?
Bien malin qui serait capable aujourdhui de dire précisément de quoi sera faite la Formule 1 de demain. Déjà que la saison 2009 et lintroduction du sulfureux système KERS paraissent loin tant les développements à accomplir savèrent difficiles pour les équipes, le moyen terme semble encore plus compliqué à négocier pour un championnat qui cherche à jouer sur la fibre écologique en plus de la volonté de rester comme la vitrine technologique ultime en matière de sport automobile. Depuis quelques mois, on entend justement parler de plus en plus dun possible retour à la suralimentation en lieu et place des bloc V8 atmosphériques actuels. Aujourdhui, cette éventualité parait de plus en plus probable après les déclarations du président de la FIA et de quelques uns des dix constructeurs disputant le championnat.
