F1 : plus de 200 chevaux de déficit pour le V6 Honda
Les performances du bloc nippon sont régulièrement critiquées. Encore plus depuis les derniers Grand Prix de Belgique et d'Italie où ses lacunes ont été encore plus mises en évidence.
Les performances du bloc nippon sont régulièrement critiquées. Encore plus depuis les derniers Grand Prix de Belgique et d'Italie où ses lacunes ont été encore plus mises en évidence.
Les performances du bloc nippon sont régulièrement critiquées. Encore plus depuis les derniers Grand Prix de Belgique et d'Italie où ses lacunes ont été encore plus mises en évidence.
D'après certains analystes, sur un tour complet du circuit de Spa-Francorchamps, la McLaren-Honda ne concéderait qu'une demi-seconde à la Mercedes dans les virages. L'écart en mettant bout à bout les chronos dans les lignes droites serait quant à lui chiffré à 2.3 secondes. Des performances qui placeraient finalement le châssis McLaren au quatrième rang des meilleurs châssis, derrière Mercedes, RedBull et Toro Rosso.
Le manque de puissance du V6 Honda est donc criant, tout particulièrement dans les lignes droites. Si la partie thermique du bloc ne semble plus aussi déficitaire qu'en début de saison, le système électrique de récupération d'énergie cinétique ( ERS ) accuserait un retard de 160 chevaux, avec notamment une baisse de capacité notoire en fin de ligne droite. Associé aux 80 chevaux qui manquent à partie thermique, Jenson Button et Fernando Alonso devraient se passer de 240 chevaux sur certaines portions du tracé par rapport aux pilotes Mercedes.
Source : Motorsport
Crédit illustration : McLaren
Les performances du bloc nippon sont régulièrement critiquées. Encore plus depuis les derniers Grand Prix de Belgique et d'Italie où ses lacunes ont été encore plus mises en évidence.
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