Le montage en cours de réalisation est si compliqué qu’il dure depuis des semaines. Depuis le départ de Nico Hulkenberg chez Sauber, il y a une place de choix à récupérer chez Force India. Mais l’écurie de Vijay Mallya (comme une majorité de ses affaires) n’est pas en bonne santé financière.

Dans un monde parfait, Jules Bianchi serait déjà assuré d’être dans le baquet laissé vacant par Hulkenberg, comptant sur l’expérience acquise l’an passé en tant que pilote-essayeur pour l’écurie aux couleurs indiennes.

Mais Force India cherche de l’argent frais. Et Adrian Sutil, l’un de ses anciens pilotes absents en 2012, aurait la capacité de payer sa monoplace.

Chez Ferrari, le concept est différent. L’idée est de permettre à Jules Bianchi de montrer ses qualités et d’acquérir un maximum d’expérience pour avoir la capacité d’intégrer la Scuderia en cas de besoin. Et le pilote de la Ferrari Driver Academy n’est pas la seule pièce de l’échiquier.

Force India arrive au terme de son partenariat moteur avec Mercedes. C’est là que la porte s’ouvre pour Ferrari qui pourrait s’allier à Force India (en remplacement de Sauber par exemple ?). Mais les deux parties ne semblent pas trouver de terrain d’entente dans leurs négociations, pour le moment…

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Sources : Ferrari / Reuters