Essai Audi Q5 : vie à bord (2/3)
par Nicolas Morlet

Essai Audi Q5 : vie à bord (2/3)

En montant à bord du Q5, on découvre un habitacle typiquement Audi. Les fans de la marque diront qu’il est sobre et élégant. Les autres préfèreront sans doute les termes banal et triste. En matière de sérieux de fabrication en revanche, les deux clans seront sans doute d’accord…

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Pas de surprise non plus donc à l’ouverture de la portière. On retrouve un tableau de bord inspiré des dernières productions de la marque d’Ingolstadt avec son volant à quatre branches, ses deux compteurs ronds encadrant l’écran central qui reprend toutes les indications nécessaires au conducteur et son système multimédia avec son large écran central. Un habitacle typiquement Audi donc, sans véritable originalité stylistique.

Au niveau qualité perçue, Audi semble toujours au top, même si l’habitacle m’est apparu un tout petit peu moins soigné que dans mes souvenirs d’essais d’A3 ou de Q7 (ce qui s’explique plus logiquement dans ce dernier cas). En effet, si la qualité de fabrication et d’assemblage ne souffre toujours d’aucune critique, les plastiques m’ont semblés présents en plus grand nombre que sur les autres modèles de la gamme et leur qualité assez inégale. Ainsi, quand on tapote légèrement la partie supérieure du tableau de bord, on ne retrouve plus le bruit sourd et effacé mais un bruit plus sec et creux, plastique. Même constat au niveau des bacs de portières ou des des rangement centraux, entre les sièges, dont le plastique sonne également creux (surtout à l’arrière). Réalité ou c’est moi qui m’embourgeoise ? Bon, pas de quoi s’alarmer non plus, l’habitacle reste tout de même d’une très belle facture (sans mauvais jeu de mot) notamment avec cette sellerie en cuir beige (optionnelle) et les inserts en bois (qui remplacent ceux en aluminium montés d’origine) qui viennent donner un petit air encore plus bourgeois, plus statutaire à ce «petit» SUV. 

A l’avant comme à l’arrière, les sièges sont toujours très bien dessinés et offrent un maintien et un confort appréciables. Les passagers avant ont droit à des réglages d’assises et de dossiers dans tous les plans ainsi qu’au maintien lombaire réglable, tandis qu’à l’arrière, la banquette peut coulisser sur quelques centimètres et se rabattre afin de libérer un plancher entièrement plat. 

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En montant à bord du Q5, on découvre un habitacle typiquement Audi. Les fans de la marque diront qu’il est sobre et élégant. Les autres préfèreront sans doute les termes banal et triste. En matière de sérieux de fabrication en revanche, les deux clans seront sans doute d’accord…

Nicolas Morlet
Rédacteur
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