Tout a commencé vendredi, quand le journal italien Il Sole 24 a révelé que le président d'Alfa Romeo, Antonio Baravalle, a décidé de quitter son poste à peine plus de deux ans après son arrivée, et même l'industrie automobile complètement puisqu'il prendrait la direction d'une grande maison d'édition, Einaudi. Baravalle avait remplacé en 2005 Karl Heinz Kalbfell, alors parti chez Maserati. Le futur ex-président était entré dans le groupe en 1999, d'abord au marketing puis brièvement à la tête de Lancia avant de prendre le volant chez Alfa. A priori, il s'agirait d'un départ de sa propre initiative, personne ne l'ayant poussé vers la sortie. Mais la chose prend un relief différent avec un nouvel article aujourd'hui de Quattroruote, qui cette fois annonce que c'est carrément Sergio Marchionne qui ferait ses cartons.
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Tout a commencé vendredi, quand le journal italien Il Sole 24 a révelé que le président d'Alfa Romeo, Antonio Baravalle, a décidé de quitter son poste à peine plus de deux ans après son arrivée, et même l'industrie automobile complètement puisqu'il prendrait la direction d'une grande maison d'édition, Einaudi. Baravalle avait remplacé en 2005 Karl Heinz Kalbfell, alors parti chez Maserati. Le futur ex-président était entré dans le groupe en 1999, d'abord au marketing puis brièvement à la tête de Lancia avant de prendre le volant chez Alfa. A priori, il s'agirait d'un départ de sa propre initiative, personne ne l'ayant poussé vers la sortie. Mais la chose prend un relief différent avec un nouvel article aujourd'hui de Quattroruote, qui cette fois annonce que c'est carrément Sergio Marchionne qui ferait ses cartons.
L'information, en provenance de la radio suisse romande, envoie Marchionne à la tête de l'Union des Banques Suisses, dont il est administrateur depuis le printemps. L'Union des Banques Suisses est en difficulté après avoir été frappée durement par la crise des subprimes, et aurait bien besoin du genre de magie que Sergio Marchionne a déployée pour ramener Fiat du bord de l'abysse vers la situation enviable dans lequel se trouve aujourd'hui le constructeur italien.
Mais avant de tirer plus de conclusions, attendons confirmation de cette information importante.
Tout a commencé vendredi, quand le journal italien Il Sole 24 a révelé que le président d'Alfa Romeo, Antonio Baravalle, a décidé de quitter son poste à peine plus de deux ans après son arrivée, et même l'industrie automobile complètement puisqu'il prendrait la direction d'une grande maison d'édition, Einaudi. Baravalle avait remplacé en 2005 Karl Heinz Kalbfell, alors parti chez Maserati. Le futur ex-président était entré dans le groupe en 1999, d'abord au marketing puis brièvement à la tête de Lancia avant de prendre le volant chez Alfa. A priori, il s'agirait d'un départ de sa propre initiative, personne ne l'ayant poussé vers la sortie. Mais la chose prend un relief différent avec un nouvel article aujourd'hui de Quattroruote, qui cette fois annonce que c'est carrément Sergio Marchionne qui ferait ses cartons.