Quel est désormais le point commun entre la stratosphérique Caparo T1, une quasi Formule 1 homologuée sur route ouverte, et l'Aston Martin DB9 (non l'Anglaise ne développera pas prochainement 1045 chevaux !) ? Pour trouver réponse à cette question il suffit de se pencher sur l'organe de sécurité numéro un : le freinage. Détails dans la suite ci-dessous.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Quel est désormais le point commun entre la stratosphérique Caparo T1, une quasi Formule 1 homologuée sur route ouverte, et l'Aston Martin DB9 (non l'Anglaise ne développera pas prochainement 1045 chevaux !) ? Pour trouver réponse à cette question il suffit de se pencher sur l'organe de sécurité numéro un : le freinage. Détails dans la suite ci-dessous.
Dans l'optique d'un freinage optimal de leur supercar, les ingénieurs de Caparo avaient évidemment apporté un soin tout particulier dans le développement de cet organe de sécurité. Plus que dans le circuit d'huile ? C'est une autre question à laquelle nous souhaitons évidemment une toute autre réponse. Bref.
Au lieu des disques de freins, d'un diamètre de 355mm sur la Caparo, les spécialistes de Caparo AP Braking ont développé des disques de 378mm, étriers à quatre pistons, pour équiper l'Aston Martin DB9. Ces nouveaux freins sont avancés comme dotés d'un meilleur rendement par rapport aux actuels.
Quelques chiffres. 30%, comme l'intensité d'efforts en moins à fournir pour freiner. 24%, comme le gain en distance de freinage. 18%, comme la chute de leur température. Ah, si la DBS de Bond avait bénéficié de cet équipement, peut-être aurait-on évité le grand plongeon dans le lac de Garde ?
Quel est désormais le point commun entre la stratosphérique Caparo T1, une quasi Formule 1 homologuée sur route ouverte, et l'Aston Martin DB9 (non l'Anglaise ne développera pas prochainement 1045 chevaux !) ? Pour trouver réponse à cette question il suffit de se pencher sur l'organe de sécurité numéro un : le freinage. Détails dans la suite ci-dessous.