Celle qui devra porter à bout de bras la marque De Tomaso revenue de nulle part par la volonté de l’homme d’affaires italien Gian Mario Rossignolo, la SLC, que l’on attendait dans les allées du Salon de Genève a finalement été présentée en avant-première aux hautes instances italiennes quelques semaines avant l’ouverture de la Grand-Messe genevoise.
Cette SLC, donc les initiales signifient Sport Luxury Car, affiche une plastique plutôt originale, sorte de mélange ayant tourné de BMW Série 5GT, de BMW X6 ou encore, de Honda Crosstour. Bref, si la plastique extérieure est osée, on ne peut pas vraiment dire que la sauce ait bien pris et l’ensemble ne renvoie pas exactement l’image flatteuse désirée par la marque.
L’habitacle se montre lui nettement plus à son avantage, avec une console centrale très inclinée et un tunnel de transmission imposant qui renvoie chacun des passagers dans son alcôve individuelle. Les sièges aux motifs à losanges et surpiqûres blanches sont eux aussi d’un très bel effet.
D’emblée fournie en quatre roues motrices, la SLC sera animée par un V8 de 524 chevaux dans sa version la plus aboutie, mais devrait également être proposée avec un V6 de 296 chevaux, voire, pourquoi pas, un V6 diesel de 247 chevaux. Son poids total est annonce «plus léger de 250 kilos que ses concurrentes» et son prix devrait s’aligner aux alentours des 85.000 euros.
Rendez-vous à Genève pour connaître tous les détails techniques et juger par vous-mêmes de la réussite de cette De Tomaso du 21ème siècle.
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Celle qui devra porter à bout de bras la marque De Tomaso revenue de nulle part par la volonté de l’homme d’affaires italien Gian Mario Rossignolo, la SLC, que l’on attendait dans les allées du Salon de Genève a finalement été présentée en avant-première aux hautes instances italiennes quelques semaines avant l’ouverture de la Grand-Messe genevoise.
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