Se montrant rassurant (quant à une éventuelle cession à PSA vite démentie) mais inflexible sur les économies à faire pour redresser la barre sur le plan financier, Dan Akerson, le grand patron de General Motors, était présent au siège de la filiale Opel dans le courant de la semaine dernière. Et de notamment marteler que GM avait besoin d'une forte présence en Europe ce passant évidemment par Opel."Une entreprise comme GM a besoin d'une forte présence en Europe, d'un design fort, d'un potentiel de développement ou d'un solide réseau de distribution. Opel remplit ce rôle". Dan Akerson s'est voulu rassurant lors de sa visite au siège de sa filiale européenne, une filiale qui plombe pourtant depuis des années le bilan financier du groupe.
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Au centre du "jeu" entre PSA et General Motors, le constructeur au Blitz ne sait pas franchement de quoi son avenir sera fait. Les dirigeants, sûrement rassurés par cette intervention, savent en revanche les efforts à accomplir pour stopper l'hémorragie financière et retrouver des chiffres de vente plus favorables.
Tout ceci s'articule autour du large plan "Drive Opel 2022" entre élargissement de la gamme (Mokka et Adam en tête de liste), expansion au niveau international (pour contrecarrer la chute constatée en Europe) ou l'inévitable course à la réduction des coûts avec 300 millions de dollars cette année et 500 millions de dollars entre 2013 et 2015. Une diminution de la facture qui passera aussi par quelques coupes au niveau social. Dan Akerson a conclu son intervention par la volonté revendiquée de voir Opel jouer un rôle important pour le groupe à l'avenir.
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Se montrant rassurant (quant à une éventuelle cession à PSA vite démentie) mais inflexible sur les économies à faire pour redresser la barre sur le plan financier, Dan Akerson, le grand patron de General Motors, était présent au siège de la filiale Opel dans le courant de la semaine dernière. Et de notamment marteler que GM avait besoin d'une forte présence en Europe ce passant évidemment par Opel."Une entreprise comme GM a besoin d'une forte présence en Europe, d'un design fort, d'un potentiel de développement ou d'un solide réseau de distribution. Opel remplit ce rôle". Dan Akerson s'est voulu rassurant lors de sa visite au siège de sa filiale européenne, une filiale qui plombe pourtant depuis des années le bilan financier du groupe.
