Crise : Vauxhall propose des congés sabbatiques pour ne pas licencier
En fin de semaine dernière, les dirigeants Vauxhall du complexe industriel d'Ellesmere Port (Merseyride) ont proposé aux 2 200 salariés de poser de deux à neuf mois de repos forcé pour éviter le licenciement pur et simple. La filiale de General Motors avait au mois d'octobre dernier déjà fermé les portes de cette usine durant quatorze jours pour adapter la production à la chute des ventes.
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En fin de semaine dernière, les dirigeants Vauxhall du complexe industriel d'Ellesmere Port (Merseyride) ont proposé aux 2 200 salariés de poser de deux à neuf mois de repos forcé pour éviter le licenciement pur et simple. La filiale de General Motors avait au mois d'octobre dernier déjà fermé les portes de cette usine durant quatorze jours pour adapter la production à la chute des ventes.
Le site industriel Vauxhall d'Ellesmere Port produit en cadence pleine une moyenne de 120 000 unités par an. Mais face aux prévisions pour l'année prochaine, avec une baisse de la production oscillant entre 12 % et 15 %, les responsables de l'usine ont invité leurs employés à prendre entre deux mois et neuf mois de congés payés à hauteur de 30 % de leur salaire de base.
Le directeur de la communication Royaume-Uni de General Motors, Denis Chick, précise que la proposition de ce plan avait finalement été accueillie correctement parmi les salariés et les représentants des syndicats.
"Nous ne voulons pas licencier car nous aurons besoin de tout le monde dès la reprise de l'activité économique mondiale", précise-t-il. GM et Vauxhall pourraient donc étendre cette mesure à d'autres complexes du groupe. Rappelons qu'en novembre dernier, le marché anglais a été victime d'une chute conséquente de 36,8 % soit un bilan commercial parmi les plus mauvais enregistré durant ces deux dernières décennies.
En fin de semaine dernière, les dirigeants Vauxhall du complexe industriel d'Ellesmere Port (Merseyride) ont proposé aux 2 200 salariés de poser de deux à neuf mois de repos forcé pour éviter le licenciement pur et simple. La filiale de General Motors avait au mois d'octobre dernier déjà fermé les portes de cette usine durant quatorze jours pour adapter la production à la chute des ventes.