par La rédaction

Crise : General Motors supprime des emplois et baisse encore la cadence

Comme d'habitude les mêmes causes expliquent des conséquences semblables. Nul besoin de refaire le topo sur la grave crise actuellement traversée par General Motors qui pourrait se résumer dans ses grandes lignes par des ventes en baisse, des décisions stratégiques à moyen et long terme frileuses ou plus simplement inadaptées à la situation des marchés et donc une réduction drastique des coûts pour assurer tout simplement sa survie (et contenter les acteurs politiques et financiers pour obtenir de l'argent). Comme d'habitude le constructeur américain, rendu à son énième plan social, ajuste une nouvelle fois ses volumes de production et procède à une vague de suppressions d'emplois. 2008-2009, même combat.

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Comme d'habitude les mêmes causes expliquent des conséquences semblables. Nul besoin de refaire le topo sur la grave crise actuellement traversée par General Motors qui pourrait se résumer dans ses grandes lignes par des ventes en baisse, des décisions stratégiques à moyen et long terme frileuses ou plus simplement inadaptées à la situation des marchés et donc une réduction drastique des coûts pour assurer tout simplement sa survie (et contenter les acteurs politiques et financiers pour obtenir de l'argent). Comme d'habitude le constructeur américain, rendu à son énième plan social, ajuste une nouvelle fois ses volumes de production et procède à une vague de suppressions d'emplois. 2008-2009, même combat.

En clair et en chiffres, ce nouveau plan se traduira par la suppression effective de 2 000 emplois soit 800 à Lordstown (Ohio) et 1 200 à Lansing (Michigan). Grâce aux accords entre syndicats, autorités politiques et responsables les ouvriers licenciés devraient percevoir 70 % de leur rétribution nette mensuelle durant 48 semaines.

Cette mesure s'accompagnera de la mise au chômage partiel de neuf autres sites industriels nord-américains. "Nous continuons seulement d'adapter notre production à la demande en baisse du marché et rien d'autre", a déclaré un porte-parole du constructeur US. Sur le sol américain justement c'est un total de quatorze sur quinze sites industriels qui verront leurs cadences de production revues à la baisse d'ici à la fin du premier trimestre.

L'usine de Bolwing Brown (Kentucky) étant donc la seule épargnée (bon, déjà l'an dernier le rythme d'assemblage avait été copieusement ralenti). Ces diminutions de production devraient représenter un volume de 250 000 unités de moins.

A lire également. GM : un nouveau prêt rapide, sinon et GM refuse une aide du gouvernement canadien.

Source : Detroit News.

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Comme d'habitude les mêmes causes expliquent des conséquences semblables. Nul besoin de refaire le topo sur la grave crise actuellement traversée par General Motors qui pourrait se résumer dans ses grandes lignes par des ventes en baisse, des décisions stratégiques à moyen et long terme frileuses ou plus simplement inadaptées à la situation des marchés et donc une réduction drastique des coûts pour assurer tout simplement sa survie (et contenter les acteurs politiques et financiers pour obtenir de l'argent). Comme d'habitude le constructeur américain, rendu à son énième plan social, ajuste une nouvelle fois ses volumes de production et procède à une vague de suppressions d'emplois. 2008-2009, même combat.

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