par La rédaction

Chrysler parodie Obama en Australie

Fumant coup marketing ou fumeux spot publicitaire ? L'antenne australienne du constructeur US Chrysler a engagé un imitateur du nouveau président des USA et repris le slogan choc de la campagne présidentielle américaine pour vanter ses modèles espérant draguer le client. Pas bête toutefois d'ajouter le verbe sale histoire de se protéger contre toutes éventuelles représailles juridiques.

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Fumant coup marketing ou fumeux spot publicitaire ? L'antenne australienne du constructeur US Chrysler a engagé un imitateur du nouveau président des USA et repris le slogan choc de la campagne présidentielle américaine pour vanter ses modèles espérant draguer le client. Pas bête toutefois d'ajouter le verbe sale histoire de se protéger contre toutes éventuelles représailles juridiques.

Sauf erreur, sur le sol américain, le désormais célèbre slogan "Yes we can" a été déposé comme une marque empêchant alors toute utilisation commerciale du thème. Quid en Australie ? Mystère. En tout cas chez Chrysler Australie, droit ou pas, on s'est assuré les services d'un imitateur afin de décliner une campagne de pub pour tenter de vendre des Chrysler 300C (un modèle visiblement dont le choix ne doit rien sauf au hasard), Jeep Cherokee et autres modèles du groupe.

En gros si les automobilistes australiens cherchent telle ou telle auto à un super prix, avec Chrysler yes they can trouver leur bonheur. Et puis si comme cela ne suffisait pas, pourquoi ne pas pousser encore plus loin en ouvrant tout bonnement un microsite spécial ?!

http://www.youtube.com/watch?v=Dsotn05umoQ&hl=fr&fs=1

A lire également. Cadillac Limousine Présidentielle et La Chysler 300C de Barack Obama à vendre.

Source : Automk.

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Fumant coup marketing ou fumeux spot publicitaire ? L'antenne australienne du constructeur US Chrysler a engagé un imitateur du nouveau président des USA et repris le slogan choc de la campagne présidentielle américaine pour vanter ses modèles espérant draguer le client. Pas bête toutefois d'ajouter le verbe sale histoire de se protéger contre toutes éventuelles représailles juridiques.

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