Ce véhicule présenté au Salon de Detroit est une sorte de douce revanche pour General Motors, accusé de meurtre dans le film manifeste "Who killed the electric car ?" pour avoir laissé péricliter l'expérience EV1 et détruit les prototypes, au grand dam des fidèles utilisateurs. Volt peut être vu, et c'est bien ainsi que GM l'entend, comme la suite de EV1. Il s'agit d'une voiture électrique quatre places, équipée de batteries lithium-ion rechargeables en six heures sur secteur et permettant 65 kilomètres d'autonomie. Jusque là, hormis un aspect plutôt massif inhabituel pour une voiture électrique, rien de transcendant. Mais il y a un truc.
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Ce véhicule présenté au Salon de Detroit est une sorte de douce revanche pour General Motors, accusé de meurtre dans le film manifeste "Who killed the electric car ?" pour avoir laissé péricliter l'expérience EV1 et détruit les prototypes, au grand dam des fidèles utilisateurs. Volt peut être vu, et c'est bien ainsi que GM l'entend, comme la suite de EV1. Il s'agit d'une voiture électrique quatre places, équipée de batteries lithium-ion rechargeables en six heures sur secteur et permettant 65 kilomètres d'autonomie. Jusque là, hormis un aspect plutôt massif inhabituel pour une voiture électrique, rien de transcendant. Mais il y a un truc.
Le truc, c'est un système dénommé e-Flex, dans ce cas précis un moteur thermique trois cylindres turbo de 1000cc fonctionnant à régime constant à l'E85, qui se déclenche pour recharger les batteries si nécessaire. C'est le même principe que la Cleanova bien connue des lecteurs du blog auto. GM présente également une version de Volt équipée d'une pile à combustible, et indique qu'une version (bio-)diesel est également faisable, tout en faisant remarquer que si on observe l'utilisation des voitures aux Etats-Unis, dans de nombreux cas la recharge secteur est largement suffisante.
Comme d'habitude, le principal obstacle à la commercialisation reste les batteries, dont Volt embarque près de 200 kg. Le constructeur prédit que la technologie devrait être viable à partir de 2010-2012.
GM met donc en vedette une approche intéressante, à mi-chemin entre le système hybride Toyota/Honda, dont il reprend le stockage sur batteries, et le réformeur embarqué producteur d'hydrogène à partir de pétrole objet des recherches de Renault et Nissan. Le plus important est toutefois de voir ce qu'il en restera une fois les projecteurs du Salon de Detroit éteints. Il faut espérer que ce ne sera pas le sujet de "Who killed the electric car again".
Ce véhicule présenté au Salon de Detroit est une sorte de douce revanche pour General Motors, accusé de meurtre dans le film manifeste "Who killed the electric car ?" pour avoir laissé péricliter l'expérience EV1 et détruit les prototypes, au grand dam des fidèles utilisateurs. Volt peut être vu, et c'est bien ainsi que GM l'entend, comme la suite de EV1. Il s'agit d'une voiture électrique quatre places, équipée de batteries lithium-ion rechargeables en six heures sur secteur et permettant 65 kilomètres d'autonomie. Jusque là, hormis un aspect plutôt massif inhabituel pour une voiture électrique, rien de transcendant. Mais il y a un truc.