Chant du cygne et bouquet final de la Zonda, voici la dernière petite venue : la Zonda Revolucion, évolution assez radicale combinant puissance de tout premier plan et cure de poids à l'heure de la pesée. Et de revendiquer des chiffres pour le moins impressionnants...
Zapping Le Blogauto Essai Suzuki Vitara
Même si c'est la Huayra qui bat actuellement les pavés, du côté de chez Pagani on n'oublie pas, et comment, sa devancière Zonda. La supercar se décline ici dans une ultime version baptisée Revolucion. Un patronyme qu'elle n'usurpe pas animée qu'elle est par son V12 7.3 l de 800 ch pour 730 Nm soit des gains de 50 ch et 29 Nm.
Avec un poids ramené à 1070 kg grâce à un recours à la fibre de carbone et au titane, son rapport poids/puissance se veut asse radical. Ce bloc est jumelé à la boîte séquentielle transversale à six vitesses garantissant des changements de rapports en 20 ms. Quant à cette débauche de cavalerie, elle sera tempérée via des disques CCMR Brembo à la fois plus légers et résistants.
La Revolucion gagne aussi des suspensions recalibrées, un ABS revu et douze réglages distincts mis également différentes améliorations touchant au domaine de l'aéro. Et parmi ces spécificités, c'est l'aileron arrière en fibre de carbone avec technologie DRS dont le pilote/conducteur peut modifier le comportement pour gagner en appui.
Cette dernière itération de la Zonda sera aussi logiquement la plus chère avec un ticket d'entrée fixé à 2,2 millions d'euros. Cinq unités seront produites.Il n'en resterait qu'une à saisir... Alors si vous avez raté la Tricolore, R, ou Cinque (entre autres), dépêchez-vous.
Source : Pagani.
Crédit illustrations : Pagani.
Vous cherchez un véhicule d'occasion ?
Retrouvez des milliers d’annonces sélectionnées pour vous aider à trouver le bon véhicule d’occasion.
Podcast Men Life
Pour résumer
Chant du cygne et bouquet final de la Zonda, voici la dernière petite venue : la Zonda Revolucion, évolution assez radicale combinant puissance de tout premier plan et cure de poids à l'heure de la pesée. Et de revendiquer des chiffres pour le moins impressionnants...