Si la reprise de Volkswagen par Porsche semble presque naturelle tant les liens unissant les deux sociétés sont anciens, tout le monde n'apprécie pas. Le patron de Volkswagen, pourtant mis en place par Ferdinand Piëch, en est de ceux-là et le fait savoir...
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Si la reprise de Volkswagen par Porsche semble presque naturelle tant les liens unissant les deux sociétés sont anciens, tout le monde n'apprécie pas. Le patron de Volkswagen, pourtant mis en place par Ferdinand Piëch, en est de ceux-là et le fait savoir...
En effet, suite aux critiques de Wolfgang Porsche concernant la gestion de l'entreprise et ses résultats commerciaux, Martin Winterkorn a vertement répliqué. Il met en avant les bons résultats du groupe Volkswagen, et n'est pas tendre avec les paroles du Président du conseil de surveillance de Porsche qui affirmait que concernant les problèmes entre Porsche et Volkswagen, "les salariés pouvaient tranquillement aller travailler à l'usine". Martin Winterkorn rappelle ainsi que Volkswagen a de longue date une politique sociale responsable et que ses salariés ne sont pas simplement "envoyés à l'usine", mais aussi traités avec respect.
Martin Winterkorn n'exclu d'ailleurs pas de donner sa démission si Porsche s'imisce trop dans la gestion quotidienne de l'entreprise.
Avec ce genre d'échange, on comprend mieux pourquoi les dirigeants de Volkswagen espionnent ceux de Porsche, mais on peut quand même se demander quel rôle joue exactement Ferdinand Piëch, Président du conseil de surveillance de VW, mais aussi actionnaire de Porsche et petit fils de Ferdinand Porsche, et donc très influant de ce côté là également...
Si la reprise de Volkswagen par Porsche semble presque naturelle tant les liens unissant les deux sociétés sont anciens, tout le monde n'apprécie pas. Le patron de Volkswagen, pourtant mis en place par Ferdinand Piëch, en est de ceux-là et le fait savoir...