Pendant que les clients potentiels font bronzette à Ibiza, ça travaille dur chez BMW, qui ne se repose pas sur ses lauriers. En effet, les Série 1, 3, 5, 6 et X3 voient leurs gamme singulièrement remaniées voire étoffées. Comment? D'une part, une nouvelle finition M Sports est introduite pour la plupart des modèles, qui comprend des éléments conçus par BMW M, tels que des suspensions, des ornements de carrosserie et d'habitacle spécifiques. D'autre part, nouvelles motorisations viennent compléter une offre que d'aucuns ont pu juger un peu réduite. Ainsi, la Série 3 reçoit le 4 cylindre 1995cc développant soit 130CV en essence soit 122CV en diesel de la Série 1 (sous les appellations fort logiques de 318i et 318d), ainsi que le 6 cylindres diesel de 2993cc offrant pas moins de 231CV, pour un couple faramineux de 500Nm (version 330d), transmis exclusivement via des boîtes 6, manuelles ou automatiques. Sympa de s'offrir une berline diesel capable d'abattre (le mot est faible!) le 0 à 100 en 6.7 et d'atteindre les 250 km/h alors que les radars automatiques infestent sans cesse les routes françaises (pour plus de rentab... euh de sécurité).
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Pendant que les clients potentiels font bronzette à Ibiza, ça travaille dur chez BMW, qui ne se repose pas sur ses lauriers. En effet, les Série 1, 3, 5, 6 et X3 voient leurs gamme singulièrement remaniées voire étoffées. Comment? D'une part, une nouvelle finition M Sports est introduite pour la plupart des modèles, qui comprend des éléments conçus par BMW M, tels que des suspensions, des ornements de carrosserie et d'habitacle spécifiques. D'autre part, nouvelles motorisations viennent compléter une offre que d'aucuns ont pu juger un peu réduite. Ainsi, la Série 3 reçoit le 4 cylindre 1995cc développant soit 130CV en essence soit 122CV en diesel de la Série 1 (sous les appellations fort logiques de 318i et 318d), ainsi que le 6 cylindres diesel de 2993cc offrant pas moins de 231CV, pour un couple faramineux de 500Nm (version 330d), transmis exclusivement via des boîtes 6, manuelles ou automatiques. Sympa de s'offrir une berline diesel capable d'abattre (le mot est faible!) le 0 à 100 en 6.7 et d'atteindre les 250 km/h alors que les radars automatiques infestent sans cesse les routes françaises (pour plus de rentab... euh de sécurité).
La Série 5 n'est pas en reste, loin de là, puiqu'elle reçoit 2 nouvelles déclinaisons, les 540i et 550i, toutes deux à moteur V8. La première reçoit un 4000cc de 306CV pour un couple de 390Nm (0 à 100 en 6.2) et la deuxième un 4799cc de 367CV pour 490Nm (0 à 100 en 5.5). Elle permet à ceux qui ne veulent pas poireauter 2 ans pour une M5 d'accéder à une Série 5 vraiment performante, la fiabilité en plus... Enfin, la 530d passe à 231CV, tout en recevant un filtre à particules, à l'instar de la 545d. En toute logique, le V8 4.8L trouve sa place sous le capot de la 6, coupé et cabriolet, qui devient 650i, entrainant la disparition de la 645.
La X3 vous plait mais affole votre banquier? Rassurez-vous, on pense à vous en Bavière, et on installe un 1995cc de 150CV qui vous propulsera de 0 à 100 en 11.2. Ce n'est pas décoiffant, mais ça suffit pour frimer et/ou énerver les écolos.
Enfin, si la Série 1 ne reçoit pas de nouveau moteur (elle a reçu son 6 cylindres récemment), elle voit sa dotation améliorée, avec des phares adaptatifs, une direction active et des nouveaux revêtements internes.
Et comme je suis soucieux de ne pas briser les rêves des lecteurs, je ne parle ni de prix (en hausse) ni de consommations (pas si élevées que ça).
Pendant que les clients potentiels font bronzette à Ibiza, ça travaille dur chez BMW, qui ne se repose pas sur ses lauriers. En effet, les Série 1, 3, 5, 6 et X3 voient leurs gamme singulièrement remaniées voire étoffées. Comment? D'une part, une nouvelle finition M Sports est introduite pour la plupart des modèles, qui comprend des éléments conçus par BMW M, tels que des suspensions, des ornements de carrosserie et d'habitacle spécifiques. D'autre part, nouvelles motorisations viennent compléter une offre que d'aucuns ont pu juger un peu réduite. Ainsi, la Série 3 reçoit le 4 cylindre 1995cc développant soit 130CV en essence soit 122CV en diesel de la Série 1 (sous les appellations fort logiques de 318i et 318d), ainsi que le 6 cylindres diesel de 2993cc offrant pas moins de 231CV, pour un couple faramineux de 500Nm (version 330d), transmis exclusivement via des boîtes 6, manuelles ou automatiques. Sympa de s'offrir une berline diesel capable d'abattre (le mot est faible!) le 0 à 100 en 6.7 et d'atteindre les 250 km/h alors que les radars automatiques infestent sans cesse les routes françaises (pour plus de rentab... euh de sécurité).