Mauvaise pioche pour Renault ? Alors qu'en décembre dernier, un accord définitif a été conclu entre l’Alliance Renault-Nissan et son partenaire russe AvtoVAZ (Lada), le premier constructeur automobile russe enregistre une chute libre de ses ventes de véhicule sur le marché intérieur. Le quotidien russe Kommersant indique en effet que le nombre d'unités commercialisées ont chuté de 20,3% par rapport à l'année passée. Rappelons à cet égard que l'Alliance Renault -Nissan détient 67% d'AvtoVAZ, la première marque automobile locale sur le territoire russe.
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Mauvaise pioche pour Renault ? Alors qu'en décembre dernier, un accord définitif a été conclu entre l’Alliance Renault-Nissan et son partenaire russe AvtoVAZ (Lada), le premier constructeur automobile russe enregistre une chute libre de ses ventes de véhicule sur le marché intérieur. Le quotidien russe Kommersant indique en effet que le nombre d'unités commercialisées ont chuté de 20,3% par rapport à l'année passée. Rappelons à cet égard que l'Alliance Renault -Nissan détient 67% d'AvtoVAZ, la première marque automobile locale sur le territoire russe.
Selon le journal, en juillet 2013, AvtoVAZ n'a vendu sur le marché intérieur que 37 500 automobiles, les ventes dégringolant depuis ces cinq derniers mois. Si les modèles récents tels que les Lada Granta et Lada Largus connaissent un relatif succès, les Lada Kalina et Lada Priora attirent nettement moins les consommateurs russes.
En juillet, les ventes de la Lada Kalina de première génération ont ainsi été divisées par quatre, seules 2.600 véhicules de ce type ayant été vendues. Les ventes de la Lada Priora ont quant à elle été divisées par deux, avec seulement 4,800 voitures vendues.
Des résultats bien peu reluisants alors que le 1er juillet dernier, Carlos Ghosn a été nommé président du nouveau conseil d'administration du constructeur AvtoVAZ. Une nomination conforme à l'accord signé en décembre dernier avec Russian Technologies, l'autre actionnaire du constructeur russe.
Si le patron de Renault avait profité de l'occasion pour réaffirmer sa volonté de développer la firme sur un marché porteur, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y a du pain sur la planche. Certes, selon ses propres termes, « l'alliance s'est engagée à fournir les ressources et l'expertise nécessaires pour transformer AvtoVAZ en un constructeur de premier rang ». Mais il va falloir que les consommateurs suivent.
« Cette joint-venture nous permettra d’accélérer notre expansion en Russie, tout en soutenant la compétitivité d’AvtoVAZ, le leader de l’industrie automobile russe » déclarait encore il y a quelques mois Carlos Ghosn. Reste que Renault et son partenaire Nissan ont mis la main sur le méga-complexe de Togliatti, lequel devrait permettre à la nouvelle Alliance d’assembler à la fois des Lada, des Renault ou des Nissan. Cinq modèles de l’Alliance devraient sortir des chaines de montage dès 2013.
Mauvaise pioche pour Renault ? Alors qu'en décembre dernier, un accord définitif a été conclu entre l’Alliance Renault-Nissan et son partenaire russe AvtoVAZ (Lada), le premier constructeur automobile russe enregistre une chute libre de ses ventes de véhicule sur le marché intérieur. Le quotidien russe Kommersant indique en effet que le nombre d'unités commercialisées ont chuté de 20,3% par rapport à l'année passée. Rappelons à cet égard que l'Alliance Renault -Nissan détient 67% d'AvtoVAZ, la première marque automobile locale sur le territoire russe.
