Année très sportive chez Audi avec le renouvellement quasi-complet des gammes "S" au printemps, et "RS" cet automne. Quelques jours après les RS6, puisque la RS4 n'en reprend pas la totalité des évolutions stylistiques. Quant au moteur V6 double turbo, il est inchangé avec ses 450 ch.
Année très sportive chez Audi avec le renouvellement quasi-complet des gammes "S" au printemps, et "RS" cet automne. Quelques jours après les RS6, RS7 et RS Q3, voici la nouvelle RS4. Toujours en break comme le veut la tradition, et plus différente que jamais du break A4 classique puisque la RS4 n'en reprend pas la totalité des évolutions stylistiques. Quant au moteur V6 double turbo, il est inchangé avec ses 450 ch.
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Dans la foulée du reste de la gamme A4, la plus sportive de la famille fait elle aussi sa mue. Cette Audi RS4 fait surtout suite à une flopée de modèles badgés S ou RS lancés ou modifiés cette année : S4, S5, S6, S7, S8, SQ5, SQ7, SQ8, TT RS, RS6, RS7, RS Q3... Une actualité riche qui fait suite à une mise aux normes Euro 6d Temp massive de cette ligne de produits. La RS4 revient donc sur le devant de la scène, mais attention, son moteur n'a pas évolué, hormis le sujet de la dépollution. Les valeurs chiffrées sont donc identiques : 331 kW / 450 ch / 600 Nm. Il est toujours associé à la boîte automatique 8 rapports, et à la transmission intégrale Quattro. Sur cette dernière, le différentiel Quattro Sport, est en option pour assurer une répartition active du couple en virages (torque vectoring). En son absence, la fonction est "simulée" via la centrale ESP sur les freins. Les valeurs de performances sont elles aussi identiques : 0 à 100 km/h en 4,1 s, vitesse maxi de 250 km/h, ou de 280 en option.
Si ses chiffres bruts sont inchangés, le moteur a évolué en interne pour se conformer aux normes de dépollution. Il en ressort avec une consommation homologuée à 9,2 l/100 km en cycle WLTP, et 211 g/km de CO2 émis. La précédente mouture affichait 8,8 l/100 km et 199 g/km, mais en cycle NEDC rappelons le.
Hormis cette partie mécanique, la RS4 évolue en douceur sur le plan du style, avec de nouvelles face avant (bouclier, calandre, phares) et arrière (feux, bouclier, hayon). Surprise, le flanc n'évolue pas, au contraire de ce que l'on a observé sur le restylage de l'A4. Audi n'a visiblement pas voulu investir de nouveaux outillages de tôlerie pour cette production limitée, quitte à avoir une gamme moins homogène. Au choix, les éléments décoratifs de la carrosserie seront noir laqué, carbone ou alu. Au niveau du châssis, on retrouve le programme précédent, avec l'amortissement piloté, la direction active en option, et en supplément une option pour des disques de frein en céramique à l'avant. A l'instar du reste de la gamme A4, l'intérieur n'évolue quasiment pas et se contente d'un nouvel écran central de 10,1 pouces, avec ici des fonctions spécifiques à l'univers RS pour la mesure des performances.
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Après un passage à vide suite aux nouvelles normes, les gammes Audi S et RS se reconstituent rapidement, question d'honneur plus que de volume. On voit ici qu'Audi a réduit son investissement au strict minimum pour une mise en conformité de l'héritière d'une longue lignée de breaks sportifs. Investissement tellement réduit que ses 450 ch paraissent presque peu par rapport aux 400 ch petit dernier de la famille, le RS Q3...
Année très sportive chez Audi avec le renouvellement quasi-complet des gammes "S" au printemps, et "RS" cet automne. Quelques jours après les RS6, puisque la RS4 n'en reprend pas la totalité des évolutions stylistiques. Quant au moteur V6 double turbo, il est inchangé avec ses 450 ch.
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