Boutée hors de Levallois en 1988, la dernière 2cv quitte les chaînes de Mangualde au Portugal le 27 juillet 1990 à 16h 30. Pas de "Bye-Bye" ou de "Forever", pour la TPV s’est mue en 2cv après guerre pour devenir un îcone hexagonal aussi souvent associé à la France par nos voisins que la baguette et le béret. Mais la Citroën vaut mieux que cette vision réductrice. Sa rusticité et son sens de la simplicité demeurent un modèle pour tous ceux en quête d’essentiel. Sa modestie apparait même comme un snobisme ultime, loin des courses à la puissance et à l'armement du monde qui l'entoure aujourd'hui. Il y aussi de bon moments automobiles, cheveux au vent et coude à la portière, à 80 kilomètres par heure.
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Boutée hors de Levallois en 1988, la dernière 2cv quitte les chaînes de Mangualde au Portugal le 27 juillet 1990 à 16h 30. Pas de "Bye-Bye" ou de "Forever", pour celle qui a popularisé la série limitée dans l’hexagone, elle s’en va sans grands tambours ni trompettes, fêtée par quelques flonflons sans chichis, sans marketing viral ni plan com’. Un départ à son image.Conçue alors que l’Europe s’inquiétait de motoriser les masses, la TPV s’est mue en 2cv après guerre pour devenir un îcone hexagonal aussi souvent associé à la France par nos voisins que la baguette et le béret. Mais la Citroën vaut mieux que cette vision réductrice. Sa rusticité et son sens de la simplicité demeurent un modèle pour tous ceux en quête d’essentiel. Sa modestie apparait même comme un snobisme ultime, loin des courses à la puissance et à l'armement du monde qui l'entoure aujourd'hui. Il y aussi de bon moments automobiles, cheveux au vent et coude à la portière, à 80 kilomètres par heure.
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Boutée hors de Levallois en 1988, la dernière 2cv quitte les chaînes de Mangualde au Portugal le 27 juillet 1990 à 16h 30. Pas de "Bye-Bye" ou de "Forever", pour la TPV s’est mue en 2cv après guerre pour devenir un îcone hexagonal aussi souvent associé à la France par nos voisins que la baguette et le béret. Mais la Citroën vaut mieux que cette vision réductrice. Sa rusticité et son sens de la simplicité demeurent un modèle pour tous ceux en quête d’essentiel. Sa modestie apparait même comme un snobisme ultime, loin des courses à la puissance et à l'armement du monde qui l'entoure aujourd'hui. Il y aussi de bon moments automobiles, cheveux au vent et coude à la portière, à 80 kilomètres par heure.