Après l'échec de la reprise de Saab par le conglomérat mené par Koenigsegg, le Chinois BAIC, qui apportait une partie du financement, n'a pas renoncé sur ce dossier. La Bank of China vient d'ailleurs de lui accorder un crédit de 20 milliards de yuans…
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BAIC cherche à se développer sur plusieurs fronts. En effet, le constructeur ne compte pas se contenter de ses diverses sociétés communes, avec Daimler ou avec Hyundai. Outre le développement d'une gamme en son nom propre, avec une forte orientation sur les technologies électriques, BAIC lorgne sur l'acquisition des technologies, et de marques, dans le reste du monde.
20 milliards de yuans, soit 2 milliards d'euros. Une ligne de crédit confortable que le constructeur présente simplement comme destinée à financer son développement, sans autre précision. De son côté, Geely n'a pas demandé autant pour financer son offre sur Volvo…Alors, financement du rachat de simples actifs, véritable offre pour Saab, simple financement de son développement interne ?
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Après l'échec de la reprise de Saab par le conglomérat mené par Koenigsegg, le Chinois BAIC, qui apportait une partie du financement, n'a pas renoncé sur ce dossier. La Bank of China vient d'ailleurs de lui accorder un crédit de 20 milliards de yuans…