Ce dernier vient remplacer le 2.4, et même si les vertus du downsizing ne sont pas ici appliquées, il se révèle plus puissant et plus économique. La puissance passe ainsi de 166 à 179 ch, le couple de 224 à 234 Nm. Dans le même temps, les consommations officielles font état de 22 et 28 mpg en ville et sur autoroute (10.7 et 8.4 l/100 km) pour le nouveau moteur contre 21 et 27 mpg (11.2et 8.7 l/100 km). Ce moteur est associé à une boîte automatique à 4 rapports. Outre une cylindrée plus importante, ce moteur se distingue par son double calage des arbres à cames d’admission et échappement (Dual VVTi), alors que le 2.4 ne le proposait que côté admission.
Quant à proposer un modèle plus économique en adoptant par exemple le 2.0 proposé en Europe avec boîte manuelle, ce n’est semble-t-il pas à l’ordre du jour. En revanche, le V6 3.5 de 269 ch et 345 Nm reste au catalogue, en version 2 ou 4 roues motrices, comme pour le 4 cylindres d’ailleurs.
Les retouches esthétiques sont assez mineures, avec un nouveau dessin des feux arrière et à l’avant un nouvel ensemble bouclier / calandre. La gamme inchangée comporte trois versions, base, Sport et Limited, avec pour cette dernière la reconduction du package « Sport appearance » qui supprime la roue de secours sur la porte arrière et adopte des pneumatiques run-flat. Les équipements s’enrichissent de l’arrivée en série des appui-tête actifs, de l’accès et démarrage sans clé sur la Limited et d’une caméra de recul proposée sur les Sport et Limited. Le tout avec des augmentations d’environ 0.5% pour la Sportet 3% pour la Limited, la version de Base conservant ses prix inchangés.