Après le chômage technique à l’usine de Sandouville, la réduction de la production sur le site de Douai, l’heure est visiblement à l’économie (350 millions d’euros à partir de 2009, 500 millions en année pleine, selon le directeur financier, Thierrry Moulonguet) et et une confiance relative en l’avenir. Renault se justifie autour notamment de l’argument du maintien de « sa compétitivité et sa profitabilité ».
Source : AFP