Voilà qui pourrait faire débat ou du moins surprendre quelque peu : les carburants sont actuellement « plus abordables » pour un salarié payé au Smic qu’au moment des chocs pétroliers de 1973 et 1979, a indiqué l’Institut français du pétrole (IFP) mardi.
Sous-entendu : arrêtons de pousser les hauts cris, et raisonnons – enfin ! – en valeur relative, en tenant compte plus particulièrement du pouvoir d’achat, voire même de la parité euro/dollar qui a quelque peu changé la donne, alors que les prix du cours du brut restent à l’heure actuelle établis en dollar.
Face aux « risques » d’intox concernant les facteurs susceptibles d’influencer la – toute relative – flambée actuelle du cours du pétrole, l’IFP ne peut que défendre sa paroisse.
« Avec une heure de Smic, on peut acheter 4,5 litres d’essence en mai 2008, contre 3 litres en 1974 », selon des chiffres de l’IFP rendus publics mardi.
En 1983 et en 1985, l’heure de Smic valait 3,8 litres, en 1995, elle valait 5,2 litres, précise ainsi l’institut.
Mais la tendance s’est inversée à partir de 2001, année pendant laquelle on pouvait acheter 5,1 litres avec un Smic. En mai 2008, on ne pouvait acheter que 4,5 litres avec un Smic.
« Le bas de gamme commence-t-il à trouver quelques limites ou le tandem Renault/Mahindra souhaite tout simplement répondre aux attentes dune clientèle voulant concilier voiture au tarif abordable et raffinement supplémentaire ? »
Les 2 mon général! : la limite du low-cost, c’est que sa rapport moins pour le fabricant mais si on a une clientèle qui veut profiter du bas prix pour y mettre des options qu’elle n’aurait pas pu acheter autrement, Renault/Mahindra aurait bien tord de ne pas les lui vendre…
Moi je verrais bien une version limousine pour les stars Bollywoodiennes!
« redoutable auto de distraction massive, à lintérieur finalement bien tristounet. »
Tristounet comme ton article qui n’apporte pas grand chose ….