Concept Kleeman D-SCK

Kleeman cest ce préparateur danois dont vous avez déjà probablement admiré une des réalisations sur base Mercedes. Des réalisations comme seules les grands tuners savent les faire, où lensemble de la voiture est revu pour de meilleures performances et un luxe proche de la perfection. Aujourdhui Kleeman passe du coté des constructeurs et nous propose ce projet de supercar, la D-SCK.

Kleeman récidive en fait avec ce projet de supercar puisquen Octobre dernier il avait présenté de manière assez confidentielle un projet très ressemblant à cette D-SCK, baptisé lui GTK.

Cette D-SCK imaginée par un étudiant en design est donc basée théoriquement comme sa consur GTK sur une Mercedes SLK (on ne change pas une équipe qui gagne !) et est dotée dun moteur de SLK 55 AMG de 540 ch et 700 Nm de couple.

Kleeman souhaite ainsi créer une voiture hautes performances donnée pour 300 km/h et un 0 à 100 km/h en 3,7

On espère que le projet aboutira

Sources : World Car Fans, Jalopnik

(8 commentaires)

  1. « La CGT estime suite à ces nouvelles révélations que ces méthodes servent à casser les grèves, permettant dattendre quelles sessoufflent alors que la stabilité financière est ainsi garantie. »

    Ah bon ?
    Et les syndiqués qui cotisent pour leur syndicat pour pouvoir continuer a etre payé pendant une greve, c’est pas la meme chose peut etre ?

  2. Selon moi ce n’est pas la même chose. Les salariés qui se mettent en grève ne touche plus leur salaire alors que les autres employés/patrons n’en sont pas privés (a juste titre d’ailleurs). Les syndicats qui s’engagent dans la grève ont pour objectif la menace de mettre en péril la survie de l’entreprise. C’est leur moyen de pression. Si une cagnotte est rassemblée par un syndicat patronal pour compenser les pertes liées à la grève, cela ote tout moyen de pression de la part des grévistes, cela anhile la grève, qui est un droit. De plus, je me demande si ce n’est pas considéré comme une subvention ou une concurrence déloyale que d’injecter de l’argent de l’exterieur directement dans les comptes d’une entreprise. Après chacun voit midi à sa porte..

  3. Donc les entreprises n’auraient pas le droit de se defendre (contre les abus), c’est ca?
    Elle n’ont qu’a subir et attendre d’etre mal en point le tout au nom du droit de se plaindre ?

  4. Je ne vois rien de choquant dans la perception de cette subvention, même si celle-ci fut versée afin de limiter les conséquences financières d’une grève.

    Je ne suis pas d’accord avec Luis, lorsqu’il dit que se « solidifier les reins » revient pour une entreprise à supprimer le seul moyen de pression qu’on les syndicats sur elle. Car même sans ces 550 000 , PSA n’aurait pas été mis en péril. Cette somme reste malgré tout modeste, au regard des finances globales du groupe.

    Ce que je trouve plus choquant, en revanche, c’est que ce genre de dossiers ressortent systématiquement au cours d’affaires graves comme celle de Sauvagnac. Cela s’appelle vulgairement « remuer la merde ».

    Par contre, je n’aimerais pas être à la place de Frédéric St Geours, qui était Directeur Général de la marque Peugeot au moment des faits, et qui est maintenant à la tête de l’UIMM. Il avait donc forcément connaissance de cette subvention lorsqu’il fut nommé président.

  5. Il faudrait bien se dire aussi que la solution pour se faire augmenter, ce n’est pas la grève, mais faire évoluer le rapport offre/demande en sa faveur.

  6. Luka, de quels abus parles tu ? La grève est un droit constitutionnel. Mais toute la subtilité de la chose tient evidemment dans le fait que les salariés n’ont aucun intérêt à voir leur entreprise mal en point. De plus ce n’est pas le droit de se plaindre (même si c’est un sport national) mais en théorie, depuis les premières grèves, c’est une facon de forcer l’amélioration des conditions de travail. Dans les premiers temps de l’ère industriel, les « salariés » étaient joyeusement exploités par le « patronnat », un peu comme en Chine à l’heure actuelle. Aujourd’hui la donne n’est plus la même en France, se pose alors la légitimité d’une grève mais c’est une autre question.
    Karim, c’est vrai la somme est sans soute négligeable. Je parlais de facon théorique. Encore une fois, il ne s’agit pas pour les grévistes de ruiner leur gagne-pain mais d’engager un rapport de force. La somme a beau être négligeable, dans une entreprise, c’est toujours embêtant de perdre de l’argent, un sou est un sou ! Mais si ces pertes sont compensées par une caisse dédiée, alors les grévistes n’ont même plus le pouvoir d’embêter.. La grève n’a plus de force. On casse donc le droit de grève. C’est ma facon de voir les choses.

  7. @ Luis

    Comme tu dis, la greve est aujourd’hui un sport national….et rien d’autre.
    Il est evident que le syndicalisme et les greves ont été necessaires et benefiques par le passé ou le patronnat abusait reellement. Mais aujourd’hui c’est souvent (pas toujours) exageré.
    J’ai bossé chez PSA et je peux affirmer que conditions de travail et salaires sont, en general, plus que royaux, je ne parle meme pas des augmentations annuelles systematiques, des primes, et des avantages divers communs a toute grosse boite (CE nottament)
    Le droit de greve est certes une chose utile et necessaire, mais je reconnais aussi le droit, en face, de se defendre.
    Enfin, dernier point : quand est ce que nous sortirons, en France, de la culture du conflit au travail ? C’est vraiment penible et prejudiciable pour tout le monde.

  8. C’est bien triste. Surtout que le grand capitalisme use davantage des méthodes louches contre les grèves.

    Le mieux encore seraient que PSA mettent ses comptes à dispo de tout le monde !

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