Emerson Fittipaldi blanchi dans l’affaire du train tchèque

Il peut lever le pouce et afficher un sourire de gagnant Emerson Fittipaldi. D’accord il pilotera avec un grand bonheur la Corvette Pace Car de la la 92ème édition des 500 miles dIndianapolis. Mais il s’agit d’autre chose. En novembre dernier l’ex pilote de F1 à bord d’un train en Tchéquie avait actionné un levier influant sur le fonctionnement de la machine. Il s’exposait alors à des sanctions. Oui, mais non…

Rappel des faits. En novembre dernier, à loccasion dune campagne visant la promotion de la compagnie tchèque des chemins de fer (CD), lancienne gloire de la Formule 1, après s’être prété au jeu des bafouilles, pénètre dans la cabine du train reliant Prague à Brno. Jusqu’ici tout va bien. Démangé qui sait par l’envie de piloter de revivre les grisantes sensation de vitesse, Emerson Fitipaldi manipule un levier influant directement sur le train (CF l’un des épisodes de la fantastique trilogie « La septième compagnie » et Jean Lefebvre dans le train s’exclamant « touche pas à ça petit con »…). Erreur tactique Ermeson et des risques de poursuite pour un acte contradictoire avec les règlements ainsi quavec lordre juridique de la République tchèque.

Le Brésilien s’en tire finalement à bon compte. Lui oui. La compagnie tchèque des chemins de Fer, moins. La CD écope en effet d’une amende pour avoir laissé entrer le pilote dans la cabine. Pas d’indication du montant financier de la sanction conséquence de ce « délit adminsitratif ». C’est bon Emerson tu peux définitivement garder le sourire !

A lire également. Emerson Fittipaldi « s’amuse » dans un train en Tchéquie et Emerson Fittipaldi et la Corvette Indy Pace Car.

Source : AFP.

(5 commentaires)

  1. C’était écrit : depuis qu’elle existe elle attire toutes les saucisses. De l’afficher comme un trophé !

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