Pourquoi ecoVoyager ? Parce que ce modèle se pique décologie. Deux solutions principales pour cela : une aérodynamique soignée et un mode de transmission choisi. Tout dabord, la ligne séloigne du style cubique habituel des monospaces et autres minivans.
Elle se rapproche de la goutte deau, ce quil y a de plus aérodynamique par définition. La propulsion ensuite. LecoVoyager est un hybride. Ses batteries lui confèrent une autonomie de 40 miles (64km), susceptible de convenir aux déplacements quotidiens. En cas de besoin, la pile à combustible peut fournir de lélectricité pour une distance supplémentaire de 300 miles (480km).
Le moteur électrique développe une puissance de 200KW. LecoVoyager peut ainsi abattre le 0 à 100km/h en moins de 8 secondes. Tout le système de propulsion est situé dans le plancher, ce qui permet doptimiser larchitecture intérieure. Concernant le style, il est grandement dicté par laérodynamique. La forme qui en résulte est douce, en tout cas inhabituelle pour un monospace.
Le désequilibre entre l’avant est l’arrière n’est pas déplaisant, puisque tout est traité avec la même grande finesse. La poupe rappelle le concept Chrysler Nassau de Detroit 2007 ou certaines Aston Martin. Dans le détail, les formes (optiques, contour des vitres, etc.) sont inspirées du logo ailé de la marque.
Lintérieur mise lui sur la pureté et lergonomie, minimisant au maximum les mouvements de tête du conducteur pour lire les informations. Les portes antagonistes sans montant central y garantissent un accès aisé.
La galerie de l’ecoVoyager :
Son intérieur :
L’album de nos envoyés spéciaux à Detroit :
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