Mercedes, Mercedes, Mercedes!

Après Porsche, Porsche, Porsche!, voici une série d’images classées par constructeurs. Des images originales, issues de mes propres archives (pour éviter le côté « best of du web ».) On commence par Mercedes.

La blonde assise sur le pare-chocs de cette 500K Spezial Roadster est Carola Daimler, arrière-petite fille de Gottlieb Daimler, le fondateur de la marque.

 

Alfred Neubauer (mythique patron de la compétition chez Mercedes des années 20 aux années 50), après sa quatrième assiette de choucroute.

Le départ du grand prix de France 1954 vient tout juste d’être donné, mais les pilotes doivent déjà sortir les jumelles pour suivre Fangio et Kling.

Fangio et Moss, comme à la parade, au grand prix de Monaco 1955. Archi-dominateurs, les deux pilotes seront trahis par leurs freins. Après le plongeon d’Ascari (plus de peur que de mal), Trintignant offrira une victoire chanceuse à Ferrari (la seule de la saison.)

Hiro Yamagata, fan de Mercedes des années 50 et de la « Beat Generation », décline à sa manière le « flower power ». Il est également décoré des voitures au Mans.

Fille de la compétition, mais destinée uniquement à la route, elle est le fruit de longues études, possédait une technologie de pointe pour l’époque (notamment le moteur à injection), des détails incroyables (les portières…), des performances délirantes (au moins 250km/h en pointe, soit 100 unités de plus que 99% de la production d’alors) et enfin LE gros défaut (en été, c’est un sauna à roulettes.) Bref, la 300 SL « papillon » est une supercar avant la lettre.

En pleine jungle Amazoniene, Zantafio (le terrible cousin de Fantasio) roule en 300 SL cabriolet. A la vue de Spirou, il sait que son énième plan pour dominer le monde va être contrarié…

Dans les années 70, Fournier dessine Spirou et fait valser les dogmes. Débarqué dans une dictature d’Asie du Sud-Est, Fantasio hérite de la Classe S violette (?) d’un trafiquant de drogue. Et lorsqu’il apprend où se cache Spirou, il écrase l’accélérateur…

B.D. 3e, avec cette Classe S blanche conduite par Paul Belmondo (avec Michel Vaillant en passager), à la poursuite de la BMW de Bob Cramer dans les rues de Macao.

Le Classe G: un vrai tout-terrain:

Qui se souvient que Mercedes a remporté le Dakar? C’était en 1983 avec un personnage de B.D. et l’un des acteurs de Camping.

Dany Snobeck à l’attaque avec la 190 qu’il engage lui-même pour le Trophée Andros 1992-1993 (qu’il remportera.)

Les deux prototypes de Mercedes SLK (1994.) Le gris du salon de Genève et le bleu du salon de Paris annonçaient le grand retour des « coupés-cabriolets ».

Roger Penske (au centre) peut sourire avec Peter Morgan et Mario Illien (co-responsables de Illmor, le motoriste sous-traitant de Mercedes.) Nous sommes en 1994 et Al Unser Jr, pilote Penske/Mercedes, se promène en CART. Il vient de remporter les 500 miles d’Indianapolis et le titre lui tend déjà les bras. De l’autre côté de l’Atlantique, les débuts de Mercedes en F1 sont modestes. Afin de rétablir l’équilibre, l’équipe Penske va également connaître des déboires par la suite.

Que vient faire cette Classe E cabriolet sur une scène d’opéra? Le metteur en scène était Allemand. Or, un chanteur assis dans une voiture, ce n’est pas la pire excentricité du théatre d’Outre-rhin…

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