Je vous avais promis une Clio avec sapin magique. Cet après-midi, j’ai vu mieux: une Clio de compétition. Je ne sais pas dans quel catégorie il s’aligne, mais il est motivé! Déjà, il peut se mesurer avec la Rover « Autobacs ». Alors que dans mon quartier, c’est plutôt « Renault Scenic et 407 ». Comme d’habitude, je précise que cet article est à prendre au deuxième degré. D’ailleurs, tous les passants étaient morts de rire en la voyant!
Un tour du propriétaire s’impose. On commence par l’avant. Pourquoi avoir choisi cette peinture noire mate? Est-ce qu’à l’instar de Jeremy Clarkson dans un numéro de Top Gear, il voulait peindre le capot (façon bombinette des seventies) et qu’il a débordé? Vous aurez évidemment noté la prise d’air, les anti-brouillards et le pare-soleil blanc.
De profil, les enjoliveurs façon jantes chromés sont visibles. Inévitable, la fausse trappe à essence, la bande plusieurs fois interrompue et l’autocollant « flamme ».
De derrière, c’est look sport, avec l’extracteur, le pot et le spoiler. Ze cerise sur le gateau étant l’autocollant « gros minet dégouté ».
Et l’intérieur? Désolé, avec la pluie, ça ne rend pas. On peut juste apercevoir les housses bleues façon baquets et le pommeau de vitesse géant.
Mon ton est moqueur, mais cette personne a du quand même passer beaucoup de temps pour un tel résultat. Alors, comme on dit, tous les goûts sont dans la nature…