C’est le thème choisi qui distingue cette série 3 des dizaines d’autres qui l’entouraient: un habillage qui fait appel aux tissus traditionnels mêlés à de l’alcantara pour l’intérieur et un coffre qui cache un sérieux équipement audio dans un décor digne d’un théatre kabuki… Sans compter la carrosserie ornée d’un paysage de temple sur lequels pleuvent les fleurs de cerisier, à faire verser une larme au plus endurci des samouraï. Evidemment, c’est aussi kitsch que si Autobacs Bretigny sur Orge refaisait une Lexus façon mobilier Louis XV (chiche?). Et le responsable, interrogé, ne s’en cache pas, mais ajoute que c’était une façon de se distinguer et de s’attirer l’attention de la clientèle BMW, selon lui de loin la plus nombreuse à verser dans le tuning hors des tenants de la production locale. Un bon point pour l’originalité, et une apte entrée en matière pour le reste des attractions présentées lors de cette exposition pas vraiment complexée. A suivre…
Les derniers articles
- Accord UK-USA : l’industrie automobile britannique respire !
- Slate Auto s’envole: 100 000 réservations en 15 jours
- Tarifs douaniers de Trump : l’automobile européenne navigue à vue
- 13 mai 1950 : Silverstone lance la grande histoire de la Formule 1
- Nissan en crise : vers 20 000 licenciements mondiaux et 5,3 Mds $ de pertes