Galileo cherche sa route

Destiné à supprimer la dépendance de l’Europe vis-à-vis du système américain GPS (Global Positioning System), Galileo est en test depuis 2004. Plus précis et fiable, le projet européen est soutenu par de nombreux  pays, dont la Chine, lInde et même les Etats Unis, malgré de fortes réticences initiales. Mais outre sa tête de pont toulousaine et nombres dentreprises de laéronautique et du spatial, le projet partage avec Airbus des épineux problèmes de gouvernance. Et depuis la très chaude alerte de 2005, le projet cherche toujours sa route, même si le plan de marche technique suit son cours.

Le 22 mars dernier, l’Union européenne avait sommé les groupements d’entreprises de se mettre d’accord pour éviter un fiasco sur le dossier. Les consortiums désignés pour le projet européen de navigation par satellite ont fini par arrêter la composition dun conseil dadministrationDe quoi faire persifler ceux qui ne voient dans Galileo qu’un Tam-Tam, un Tatoo ou un Minitel, et inquiéter les autres. Nos tableaux de bord feront encore place au GPS pour un moment

Source Reuters via Autoactu

 

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