Après les Cooper et Cooper S, ce sont les versions d’entrée de gamme de la Mini qui sont dévoilées : les One et Cooper D. Enfin quand on dit entrée de gamme, tout est relatif : 16 000 semblent un minimum pour la 1.4, et on peut tabler sur 19 000 pour la diesel. Celle-ci progresse nettement par rapport à sa devancière : exit le bloc 1.4 fourni par Toyota, place à un 1.6 PSA/Ford de 110 ch, délivrant 240 Nm de couple, voire 260 avec l’overboost (comme sur la Cooper S). Résultat 195 km/h en pointe, un 0 à 100 km/h exécuté en 9,9 sec, pour une conso moyenne de 4,4l/100 km. La Cooper D se reconnaît extérieurement par son capot bombé et sa prise d’air sur le bouclier avant spécifique.
Moins d’évolution pour la One essence : elle troque son 1.6 d’origine Chrysler contre un 1.4 Valvetronic, et passe de 90 à 95 ch, pour un couple qui se cantonne à 140 Nm. Au maxi, on ne dépassera pas 185 km/h, et il faudra 10,9 sec pour passer de 0 à 100 km/h. Stagnation donc. En revanche, les consommations baissent par rapport à l’ancienne One (- 15 %), pour s’établir à 5,7 l/100 km.
Comme la diesel, elle reçoit en série une boîte 6, sauf qu’en plus, elle a droit en option à une séquentielle 6 vitesses Steptronic.
On devra attendre Genève pour avoir une idée exacte des prix et des équipements.