VW crée des charettes… de licenciement

On ne s’ennuie pas chez VW. Soumis aux pressions semble-t-il de Ferdinand Piëch, on vire le PDG, et on risque bien de se faire avaler par une grenouille appelée Porsche. Evidemment, si les ventes étaient conformes aux prévisions, on n’aurait pas un outil industriel en surcapacité dramatique. Du coup, on n’aurait pas été obligé de virer 20 000 personnes en Allemagne, et on n’en serait pas à tailler dans le vif des effectifs de l’usine belge de Bruxelles. Il faut le dire, VW a décidé q’en Europe, la Golf ne serait plus produite que sur deux sites (Wolfsburg et Mosel) au lieu de trois. Alors exit la Belgique. Chez VW, on prend bien soin de mettre de la vaseline en déclarant « qu’on est parfaitement conscient de sa responsabilité vis à vis des employés de Bruxelles et qu’on s’attache à mettre en place un plan socialement responsable avec tous les partenaires sociaux ». On n’a plus la frite à Bruxelles…

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