La police bulgare met le doigt là où ça fait mal

Si la police bulgare fait école, les constructeurs de voitures de luxe vont devoir revoir leurs prévisions de ventes: ces fonctionnaires rabats-joie viennent de mettre en place une procédure de vérification des acheteurs pour les voitures de plus de 100.000 euros. Sous le prétexte que la provenance des fonds d’un certain nombre d’acheteurs ne serait pas claire claire. Quels jaloux. On a bien pourtant bien le droit d’aimer les belles voitures.

Sans compter les « gérants de sociétés » ou dynamiques entrepreneurs dans l’import-export, même avec un modeste salaire on peut mettre de l’argent de côté étonnamment facilement en sautant un repas de temps en temps. Si si. Et c’est fou le nombre de vieilles tantes dont on ne soupçonnait pas l’existence jusqu’à cet héritage surprise. Si le personnel qualifié des concessions n’y trouve rien à redire, pourquoi l’Etat devrait y mettre son nez ? Monsieur l’inspecteur, on voit bien que vous n’appréciez pas les belles choses…

Il faut dire que la Bulgarie suit avec attention le cas d’un employé des douanes qui est sous le coup d’une enquête pour avoir des moyens de locomotion à première vue peu en rapport avec son salaire. Mais ce qui a attiré les soupçons, c’est son surnom: « Le cigare ». Franchement, si en plus on n’a plus le droit de fumer. 

Source: Focus via Jalopnik

Crédit image : It’s the Wacky races !

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